"Alors que les ressources vitales – nourriture, eau potable, médicaments – manquent dans les camps de réfugiés et dans les zones sous tension comme la Syrie et la Palestine, certains misent sur le livre pour trouver une bouée de sauvetage", écrit
Cécilia Lacour pour
Livres Hebdo n°1142. En septembre,
Livres Hebdo mettait le cap sur les bibliothèques informelles de Syrie et de Palestine grâce notamment AU livre de la journaliste
Delphine Minoui,
Les passeurs de livres de Daraya (Seuil, 2017
).
Cécilia Lacour a enquêté sur ces civils qui se sont donnés pour mission de sauver leur patrimoine littéraire enterré sous les décombres. Un moyen de
Sauver les livres et les hommes, en écho à l’ouvrage de
Michaeel Najeeb (Grasset, 2017).
Les analyses du neuropsychiatre
Boris Cyrulnik et du professeur de psychologie
Jean-François Verlhiac viennent appuyer les témoignages des créateurs des bibliothèques de Daraya et d’Idlib en Syrie, mais aussi ceux de
Mosab Abu Toha, jeune Palestinien fondateur de la première bibliothèque anglophone de la bande de Gaza ouverte fin août 2017, et de
Mary Jones, à l’initiative d’une bibliothèque dans l’ancienne "jungle" de Calais, ou encore
Esther ten Zijthoff et
Laura Samira Naudedes, fondatrices d’un dispositif d’accès mobile à la lecture pour les réfugiés en Grèce.
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