Sur les écrans cette semaine : Balzac, "Poupelle et la ville sans ciel" et "Là où chantent les écrevisses"
Une adaptation du manga jeunesse Poupelle et la ville sans ciel (Nobi Nobi, 2018) ainsi que celle du premier roman de l'écrivaine et zoologiste américaine Delia Owens sortent au cinéma cette semaine. La plateforme de vidéo à la demande Canal + diffuse elle depuis le 16 août le film Eugénie Grandet tiré du livre éponyme d'Honoré de Balzac.
De l'autre côté du ciel (au cinéma dès le 17 août)
Ce film d'animation japonais réalisé par Yusuke Hirota est tiré du manga pour enfants Poupelle et la ville sans ciel (Nobi Nobi, 2018) de l'artiste Akihiro Nishino paru dans sa version originale en 2016 et illustré entre autres par Munashichi, Mitsunaka Beppu et Ryousuke Terasako. L'histoire débute avec la naissance d'un homme-poubelle né dans une déchetterie. Rejeté par la ville entière, il se lie d'amitié avec le ramoneur Lubicchi qui le surnomme Poupelle. Cette rencontre va changer son destin.
Là où chantent les écrevisses (au cinéma dès le 17 août)
Adapté du roman éponyme Là où chantent les écrevisses (Seuil, 2020), premier roman de l'américaine Delia Owens, le film a été réalisé par Olivia Newman. L'histoire se passe en 1969 et c'est l'actrice Daisy Edgar-Jones qui incarne à l'écran Kya Clark, surnommée la fille des marais, qui vit seule depuis ses 10 ans et qui est accusée d'avoir tué un quaterback d'une ville voisine de Barkley Cove, en Caroline du Nord.
L'adaptation cinématographique du roman d'Honoré de Balzac (1833) de Marc Dugain sortie en 2021, avec Joséphine Japy dans le rôle principal, Olivier Gourmet et Valérie Bonneton, est diffusée depuis le 16 août sur Canal plus.
Le 5 novembre paraîtront les trois premiers livres de la nouvelle collection des éditions du Rocher « L'art d'avoir toujours raison ». Constituée de petits livres à tonalité humoristique, elle aborde des thèmes de débats actuels à travers la rhétorique.
Un an après son lancement, le groupe Les Nouveaux Éditeurs d'Arnaud Nourry, désormais installé rue Saint-André-des-Arts, à Paris, compte sept maisons aux profils variés. Livres Hebdo est allé à leur rencontre. Aujourd'hui, La Doux, fondée par Sophie Chanourdie et Karine Leclerc. Spécialisée en jeunesse, la maison organise aussi des résidences d'auteurs.
Pour sa première édition, le prix littéraire Vanity Fair a attribué des récompenses dans les catégories roman, non-fiction et roman graphique. Un prix spécial a également été remis.
Par
Charles Knappek
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