Véritable phénomène littéraire de la dernière décennie, Valérie Perrin revient en librairie avec Tata, son nouveau roman publié le 18 septembre chez Albin Michel. Celui-ci retrace l’histoire d’Agnès qui, un beau jour, reçoit un appel de la police lui annonçant la mort de sa tante, Colette Septembre, dans son appartement. Sur le corps de sa parente a été retrouvée une carte d’identité à son nom, le numéro de téléphone de sa nièce à contacter en cas d’urgence ainsi qu’une note précisant sa volonté d’être incinérée et de reposer avec son frère. Problème, Agnès a enterré sa tante trois ans plus tôt.
Cette intrigue semble déjà captiver les lecteurs puisque, depuis sa sortie, Tata s’est vendu à plus de 48 000 exemplaires selon GFK et intègre la troisième place du classement GFK/Livres Hebdo.
Une autrice populaire
Un succès peu surprenant au vu des bonnes performances de ses romans précédents, Valérie Perrin étant l’une des autrices françaises les plus populaires en France mais également à l’étranger avec des ouvrages commercialisés dans plus d’une soixantaine de pays.
En 2018, son roman Changer l’eau des fleurs (Albin Michel) s’était imposé sur le devant de la scène littéraire en remportant notamment le prix des Lecteurs du Livre de Poche, avec 74 000 exemplaires vendus selon GFK et faisant l’objet d’une adaptation au théâtre.
Trois ans plus tard, le roman Trois paru chez Albin Michel avait, lui aussi, rencontré son lectorat, propulsant le nombre d’exemplaires vendus à 209 000, toujours selon GFK. Ces ouvrages ont en commun de mettre en lumière des personnages rarement au premier plan dans la littérature tels que des fossoyeurs, des bistrotiers, des cordonniers, des couturiers etc.
Selon sa maison d’édition, la force de Valérie Perrin réside dans sa capacité à « donner la parole aux voies de l’ombre avec des romans d’amour construits comme des polars ». Parce que, au fond, l’amour, c’est mieux que la vie.