L'équipe de Livres Hebdo dans le studio de création du podcast "Les Voix du livre" - Photo Livres Hebdo
Podcast « Les Voix du livre » : les représentants, portrait-robot d’une profession mystère
Pour le quatrième épisode de son podcast Les Voix du livre, Livres Hebdo dresse le portrait des représentants en librairie, découvre la librairie-café La Régulière et révèle ses coups de cœur de février.
Qui sont les représentants en librairie ? Ces hommes et ces femmes de l’ombre, qui sillonnent les routes de France dans des voitures chargées de livres, pour faire le lien entre les maisons d’édition et les librairies ? Élisabeth Segard, journaliste à Livres Hebdo, est allée à leur rencontre pour brosser le « portrait-robot » de l’une des professions les plus discrètes et influentes de la chaîne du livre.
Dans la deuxième partie de l’épisode, la journaliste Lauren Malka emmène les éditeurs au cœur du quartier de la Goutte-d’Or, à Paris. On y découvre La Régulière, une librairie-café présentée par sa fondatrice Alice et par l’écrivaine Chloé Delaume, au micro de l’animatrice, comme « une véritable oasis de culture ».
Enfin, les critiques de Livres Hebdo se réunissent pour partager leurs coups de cœur de février. Essais, BD, romans, les genres sont pluriels avec Histoire de Jérusalem de Vincent Lemire et Christophe Gaultier (Les Arènes), Littérature et révolution de Joseph Andras et Kaoutar Harchi (Divergences), Insula de Caroline Caugant (Seuil), mais aussi Les yeux de Mona de Thomas Schlesser (Albin Michel), Rousse de Denis Infante (Tristram), ou encore Abrégé de littérature-molotov de Macko Dràgàn (Terres de feu).
En partenariat avec les éditions Dunod, le podcast Les Voix du livre couvre tous les mois, durant 30 minutes, les enjeux de la profession sous un angle intimiste.
Un épisode en partenariat avec Red'Active
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Si elles reviennent en partie sur le « Choc des savoirs », les annonces de la nouvelle ministre de l'Education nationale Elisabeth Borne ne remettent pas en cause les changements de programmes annoncés. Elles n’offrent en revanche toujours pas de visibilité aux professionnels de l'édition concernés.