La nouvelle équipe compte désormais cinq membres de pays africains - Sophie Madiba (Cameroun), Adama Koné (Côte d'Ivoire), Souleyman Sogoba (Mali), Rania Shaarawy (Egypte) et Hanae Lrhoul (Maroc) -, deux membres d'Amérique du Nord - Réjean Savard (Canada) et Hélène Huet (USA) -, ainsi que deux membres européens : Christopher Bonilla de la Plata (France) et Marie Monnerat (Suisse). Le nouveau conseil se réunira prochainement pour définir les missions de chacun.
Plusieurs chantiers
Pour l'équipe sortante, présidée par Raphaëlle Bats de l'Enssib, le bilan des trois dernières années de l'AIFBD est positif avec une augmentation progressive du nombre d'adhérents, passés de 75 à 96. Parmi les chantiers réalisés et à poursuivre : la création du prix du Bibliothécaire/documentaliste francophone de l'année, la finalisation d'un répertoire des compétences et l'ébauche d'un catalogue de formations destinées aux professionnels des bibliothèques, le renforcement de la politique de suivi des adhésions, l'amélioration de la gestion de la communication auprès des adhérents et le renforcement de la communication externe.
Malgré une cotisation très réduite (cinq euros par an), l'association a constitué 35 739 dollars de réserves sur l'exercice 2019. Une partie de ce budget sera mobilisé pour l'organisation du congrès 2021.
Le nouveau conseil d'administration aura également la mission de travailler sur la faisabilité des cotisations en ligne pour ses membres situés hors Europe, soumis aux contraintes des virements internationaux, très coûteux.