Pionnier de la science-fiction en France, René Barjavel rejoint les collections de la Bibliothèque nationale de France (BnF). Ses archives, constituées des brouillons de l’ensemble de ses oeuvres, publiées ou inédites, viennent compléter le fonds de littérature de science-fiction française, constitué depuis le début des années 2000 au sein du département des Manuscrits. Il rejoint ainsi des auteurs comme Pierre Boulle, Laurent Génefort, Pierre Bordage ou encore Xavier Mauméjean.
Né dans la Drôme en 1911 et décédé en 1985, René Barjavel était à la fois journaliste et écrivain. Son oeuvre a marqué la génération d’auteurs français de science-fiction qui a suivi, notamment avec des romans comme Ravage (1943), La nuit des temps (1968), et Le grand secret (1973).
Folie guerrière des hommes, excès de la science, amour éternel… Ses thèmes de prédilection se déclinent à travers la vingtaine de romans, contes et nouvelles qu’il a écrits. Véritable touche-à-tout, René Barjavel était aussi scénariste de films et auteur d’essais tels que Cinéma total (1944) et Si j’étais Dieu… (1976). Ses brouillons, précieusement conservés depuis trente ans par sa fille, Renée Barjavel, reflètent cette richesse.
Selon la BnF, "la mise à disposition de ses archives ouvrira sans doute de nouvelles perspectives de recherches tant sur l’histoire de la science-fiction en France que sur l’histoire des relations entre la littérature et les nouveaux médias au XXe siècle". A Lyon, un prix de nouvelles de science-fiction porte désormais son nom.
Né dans la Drôme en 1911 et décédé en 1985, René Barjavel était à la fois journaliste et écrivain. Son oeuvre a marqué la génération d’auteurs français de science-fiction qui a suivi, notamment avec des romans comme Ravage (1943), La nuit des temps (1968), et Le grand secret (1973).
Folie guerrière des hommes, excès de la science, amour éternel… Ses thèmes de prédilection se déclinent à travers la vingtaine de romans, contes et nouvelles qu’il a écrits. Véritable touche-à-tout, René Barjavel était aussi scénariste de films et auteur d’essais tels que Cinéma total (1944) et Si j’étais Dieu… (1976). Ses brouillons, précieusement conservés depuis trente ans par sa fille, Renée Barjavel, reflètent cette richesse.
Selon la BnF, "la mise à disposition de ses archives ouvrira sans doute de nouvelles perspectives de recherches tant sur l’histoire de la science-fiction en France que sur l’histoire des relations entre la littérature et les nouveaux médias au XXe siècle". A Lyon, un prix de nouvelles de science-fiction porte désormais son nom.
