Bibliographie

  • Deux gimlets sur la 5e avenue, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 2024 : Paris, 1961. Elisabeth et Lucas se séparent au pied de la tour Eiffel. New York, 2001. Se croisant par hasard à Central Park, ils se retrouvent au bar du Sherry Netherland, sur la 5e avenue, et se racontent l'un à l'autre quatre décennies de leur vie respective.
     
  • Écrits américains : œuvres choisies, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 2023 : À travers une sélection de romans et de nombreux écrits journalistiques réunis autour de la politique, de la littérature et de la société, ce volume invite à découvrir l’Amérique vue par Philippe Labro. Enrichi d’un parcours biographique illustré et d’une préface inédite, il paraît à l’occasion du 60ᵉ anniversaire de l’assassinat de J.F. Kennedy.
     
  • J’irai nager dans plus de rivières, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 2020 : Dans ce recueil de réflexions et de souvenirs, l’écrivain évoque ses passions (la littérature, la musique, la politique, la nature) à travers les portraits de figures marquantes : Serge Gainsbourg, Johnny Hallyday, Romain Gary, Georges Pompidou ou Tom Wolfe. Une quête du feu sacré qui anime les grands créateurs et donne sens à son propre parcours.
     
  • Ma mère, cette inconnue, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 2017 : L’écrivain retrace le destin de sa mère, Nekta. Née d’une liaison clandestine, élevée dans une pension suisse puis envoyée en France, elle devient fonctionnaire et passionnée de théâtre. À travers cette figure silencieuse, il explore les non-dits familiaux et le mystère de l’origine.
     
  • On a tiré sur le Président, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 2013 (également dans la collection Beaux papiers) : Le 22 novembre 1963, Philippe Labro se trouve aux États-Unis lorsque John Fitzgerald Kennedy est assassiné à Dallas. Témoin des jours qui ont suivi, il partage ici ses souvenirs, ses impressions et ses convictions.
     
  • Le flûtiste invisible, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 2013 : Trois récits portés par un même narrateur dessinent une méditation sur le hasard : une traversée de l’Atlantique dans les années 1930, une rencontre inattendue dans un café parisien, le témoignage d’un vieux voisin rescapé des camps. Trois moments suspendus où le destin s’invite à l’improviste.
     
  • 7.500 signes : chroniques, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 2010 : Une sélection des chroniques parues dans Le Figaro, Le Monde, Vogue ou Paris Match, complétée par une courte fiction, L’homme de bains. L’auteur y explore la frontière entre journalisme et littérature, entre regard personnel et témoignage du temps.
     
  • Les gens, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 2009 : À Paris, trois solitudes se croisent : Maria, jeune fille au pair, Caroline, trentenaire meurtrie, et Marcus Marcus, animateur vedette. Trois existences fragiles, trois détresses contemporaines, réunies par la ville et le hasard d’une rencontre.
     
  • Franz et Clara, de Philippe Labro, paru chez Albin Michel en 2006 : Lucerne, années 2000. Clara, jeune violoniste blessée par un chagrin d’amour, rencontre Franz, un enfant de 12 ans qui bouleverse sa trajectoire. Dix ans plus tard, à Londres, ils se retrouvent lors d’un concert, au terme d’un chemin marqué par la résilience et la musique.
     
  • Tomber sept fois, se relever huit, de Philippe Labro, paru chez Albin Michel en 2003 : De septembre 1999 à mai 2001, l’auteur traverse une profonde dépression. Il livre ici un témoignage lucide et intime sur cette descente aux enfers, et sur la manière dont il a reconquis peu à peu la lumière.
     
  • Je connais gens de toutes sortes, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 2002 : Depuis les années 1970, Philippe Labro a rencontré et interrogé des figures majeures de la vie politique, intellectuelle et culturelle. Ces portraits, relus à la lumière du présent, tracent le parcours d’un observateur attentif des évolutions de son temps.
     
  • Manuella, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 1999 : Avec tendresse et humour, l’auteur brosse le portrait d’une jeune fille dans le tumulte de l’adolescence. Premiers émois, épreuve du bac, regards posés sur l’avenir : une saison de la vie entre naïveté et lucidité.
     
  • Rendez-vous au Colorado, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 1998 : Dans les paysages grandioses du Colorado, l’auteur pensait retrouver des souvenirs. Il y croisera un fantôme, celui d’une jeune femme au visage marqué, entrevue à peine quelques fois. Une errance poétique entre mémoire et imaginaire.
     
  • La Traversée, de Philippe Labro, paru en 1996 chez Gallimard : C'est le récit, dépourvu de toute fiction, d'une expérience vécue. Victime d'une bactérie qui attaquait son système respiratoire, l'auteur s'est retrouvé dans un service de réanimation et il raconte son combat contre la mort.
     
  • Un début à Paris, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 1994 : À la fin des années 1950, un jeune homme découvre Paris et le monde de la presse. Ce roman d’apprentissage esquisse aussi le portrait d’une époque : la Nouvelle Vague, les jeunes écrivains, la guerre d’Algérie. Une chronique de l’entrée dans la vie adulte.
     
  • Quinze ans, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 1993 : Dans le Paris du début des années 1950, un lycéen rencontre Anna, jeune fille fantasque. Ce premier amour, tendre et cruel, s’inscrit dans une époque révolue : sans télévision, sans contraception, où aimer avait un prix et une profondeur.
     
  • Le petit garçon, de Philippe Labro, paru en 1990 chez Gallimard : Un petit garçon passe les années de guerre dans une villa du sud-ouest de la France, au milieu de juifs clandestins en danger permanent. Malgré le danger, cet endroit représente pour lui un paradis.
     
  • Un été dans l'Ouest, de Philippe Labro, paru en 1988 chez Gallimard : Au coeur de la forêt, dans les montagnes du sud-ouest du Colorado, qu'on appelle là-bas, le plus beau pays du monde, un jeune Français, "l'étudiant étranger", va gagner sa vie pendant l'été. Pour atteindre ce territoire irréel et sauvage, il sera confronté au peuple de la route.
     
  • L’étudiant étranger, de Philippe Labro, paru chez Gallimard en 1986 : Dans une université de Virginie, un jeune Français découvre l’Amérique des années 1950, ses codes, ses rituels, sa beauté. Un monde encore sage, juste avant la révolution des mœurs. Prix Interallié 1986.
     
  • Des cornichons au chocolat, de Philippe Labro (sous le pseudonyme Stéphanie) paru en 1983 chez JC. Lattès : Stéphanie, 13 ans, a un chat confident nommé Garfunkel, du culot, des problèmes, un goût discutable pour les sandwichs aux cornichons et au chocolat et une vision dérangeante sur les adultes. Avec Manuela et Franz et Clara, le carnet intime de Stéphanie constitue une sorte de trilogie féminine sur l'adolescence et la naissance du sentiment amoureux.
     
  • Des bateaux dans la nuit de Philippe Labro, paru en 1982 chez Gallimard : Pourquoi Henry Lescrabes, dernier grand patron de la presse française, rappelle-t-il de toute urgence, de l'autre bout du monde, son enquêteur préféré, Drifter ? Avant de chavirer dans la mort, le patron lance le héros sur une piste : l'affaire Jason Villaï, ce chanteur célèbre passé par la fenêtre d'un gratte-ciel du front de Seine dans des circonstances douteuses. Quel message cache cette mission confiée in extremis comme un testament ?
     
  • Ce n'est qu'un début, de Philippe Labro, paru en 1968 chez JC Lattès : Premier dossier complet des jours de mai qui ébranlèrent la France. Philippe Labro, Michèle Manceaux, 10 journalistes d'Édition Spéciale - la maison créée par Jean-Claude Lattès il y a juste 50 ans - ont suivi les événements jour après jour, heure après heure. Ils étaient à Nanterre, à la Sorbonne, derrière les barricades, au Ministère de l'Intérieur. Ils décrivent et font parler les leaders des étudiants de Daniel Cohn-Bendit à Alain Geismar, les hommes du 22 mars, les pro-chinois, les Katangais, les CRS, les ouvriers de Billancourt ...
     
  • Des feux mal éteints, de Philippe Labro, paru en 1967 chez Gallimard : Toute une génération qui fut romantique sans le savoir s'est reconnue dans ce portrait. Celui des hommes qui eurent vingt ans au moment de la guerre d'Algérie, entre 1950 et 1960. Découvrant la violence et la mort, mais aussi la beauté d'Alger sous le soleil, la magie des plages nues, obsédés par l'adolescence perdue, hantés par le mythe du cinéma américain, confrontés avec la torture, ils deviennent bientôt des «adultes», c'est-à-dire qu'ils perdent leur innocence, s'ils gardent leurs nostalgies.
     
  • Un américain peu tranquille, de Philippe Labro, paru en 1960 chez Gallimard : L'auteur livre une biographie romancée d'Al Capone, de ses débuts dans le crime organisé jusqu'à sa mort à Miami en 1947, en passant par ses sept années d'emprisonnement à Alcatraz. Avec une préface inédite de l'auteur.

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