Parasite, Palme d'or à Cannes l'an dernier, a fait un triomphe lors de la cérémonie des Oscars cette nuit à Los Angeles: meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur film international, meilleur scénario original. C'est la première fois qu'un film en langue étrangère remporte la statuette suprême du meilleur film. C'est aussi la première fois qu'un film réalise le doublé meilleur film et meilleur film international. Parasite de Bong joon-ho, qui raconte l'histoire d'une lutte des classes à travers trois familles, était le premier long métrage sud-coréen à être nommé aux Oscars.
Le prochain Rockyrama (Yinnis éditions) rend hommage au réalisateur coréen, qui avait notamment adapté la BD française Le Transperceneige au cinéma, avec un grand entretien, dans son numéro de mars. Par ailleurs, La Rabbia avait publié en 2018 un beau-livre illustré, rempli d'archives inédites, sur son film culte Memories of Murder, signé Stéphane du Mesnildot.
Pour le scénario adapté, c'est Jojo Rabbit, actuellement en salles, qui l'a emporté. Le film est l'adaptation par Taika Waititi du roman de Christine Leunens, Le ciel en cage, traduit par Bernard Turle et édité chez Philippe Rey en 2007 (la version poche est disponible depuis 2014 dans la collection "Fugues"). Le roman néo-zélandais avait été sélectionné pour le Prix Médicis.
Parmi les autres récompenses, signalons la première production du couple Obama en tant que producteurs pour Netflix, avec American Factory dans la catégorie documentaire. Joaquin Phoenix avec son rôle de Joker, personnage maléfique de l'univers DC Comics, a été sacré meilleur acteur. Les aventures de l'ennemi de Batman sont publiées essentiellement chez Urban Comics en France.
Renée Zellweger, en incarnant Judy Garland dans Judy, a reçu son deuxième Oscar, cette fois-ci dans la catégorie meilleure actrice. La star du Magicien d'Oz et d'Une étoile est née avait fait l'objet d'une biographie en mai dernier, Judy Garland : splendeurs et chute d'une légende, de Bertrand Tessier, à L'Archipel.
Enfin, doublement couronné, avec Brad Pitt en meilleur second-rôle masculin et pour ses décors, Once Upon a Time in Hollywood, de Quentin Tarantino, est au cœur de deux livres: Quentin Tarantino : la filmographie intégrale du réalisateur culte : non officiel et non autorisé, biographie du cninéaste par Ian Nathan, réédité chez Gallimard l'automne dernier, et D'après Tarantino, d'Emmanuel Burdeau (paru le 13 février chez Premier Parallèle), une analyse et une réflexion sur la célébrité, la puissance du conte et les brutalités de l'histoire.
Le prochain Rockyrama (Yinnis éditions) rend hommage au réalisateur coréen, qui avait notamment adapté la BD française Le Transperceneige au cinéma, avec un grand entretien, dans son numéro de mars. Par ailleurs, La Rabbia avait publié en 2018 un beau-livre illustré, rempli d'archives inédites, sur son film culte Memories of Murder, signé Stéphane du Mesnildot.
Pour le scénario adapté, c'est Jojo Rabbit, actuellement en salles, qui l'a emporté. Le film est l'adaptation par Taika Waititi du roman de Christine Leunens, Le ciel en cage, traduit par Bernard Turle et édité chez Philippe Rey en 2007 (la version poche est disponible depuis 2014 dans la collection "Fugues"). Le roman néo-zélandais avait été sélectionné pour le Prix Médicis.
Parmi les autres récompenses, signalons la première production du couple Obama en tant que producteurs pour Netflix, avec American Factory dans la catégorie documentaire. Joaquin Phoenix avec son rôle de Joker, personnage maléfique de l'univers DC Comics, a été sacré meilleur acteur. Les aventures de l'ennemi de Batman sont publiées essentiellement chez Urban Comics en France.
Renée Zellweger, en incarnant Judy Garland dans Judy, a reçu son deuxième Oscar, cette fois-ci dans la catégorie meilleure actrice. La star du Magicien d'Oz et d'Une étoile est née avait fait l'objet d'une biographie en mai dernier, Judy Garland : splendeurs et chute d'une légende, de Bertrand Tessier, à L'Archipel.
Enfin, doublement couronné, avec Brad Pitt en meilleur second-rôle masculin et pour ses décors, Once Upon a Time in Hollywood, de Quentin Tarantino, est au cœur de deux livres: Quentin Tarantino : la filmographie intégrale du réalisateur culte : non officiel et non autorisé, biographie du cninéaste par Ian Nathan, réédité chez Gallimard l'automne dernier, et D'après Tarantino, d'Emmanuel Burdeau (paru le 13 février chez Premier Parallèle), une analyse et une réflexion sur la célébrité, la puissance du conte et les brutalités de l'histoire.
