À l'occasion de la rentrée littéraire, de nombreux médias dressent leur liste de titres coups de cœur, annonçant bien souvent les succès de l'automne. Ainsi en 2024, parmi les trois auteurs les plus mentionnés, Nathan Hill a remporté le Grand prix de la littérature américaine pour Bien-Être (vendu à près de 55 000 exemplaires), et Kamel Daoud le prix Goncourt pour Houris (452 000 exemplaires), tous deux édités chez Gallimard.
Qu’en sera-t-il des heureux élus de cette rentrée 2025 ? Cette année Livres Hebdo a recensé les coups de cœur de pas moins de 22 médias.
De ce panel très large il ressort une forte prééminence des auteurs francophones, le plus souvent confirmés. Ainsi les trois romanciers les plus cités sont Emmanuel Carrère pour Kolkhoze chez P.O.L (13 occurrences), Laurent Mauvignier pour La maison vide chez Minuit (12) et Nathacha Appanah pour La nuit au cœur (11).
Rebeka Warrior, primo-romancière la plus remarquée
S'agissant des primo-romanciers, seul Toutes les vies de Rebeka Warrior (Stock) a retenu l’attention d'un grand nombre de médias avec sept occurrences. On observe par ailleurs une présence marquée des autrices, qui représentent plus de la moitié du palmarès à l’image de l’année précédente.
Si les traductions reculent dans les parutions cette année, elles conservent néanmoins une place dans ce classement. James de l’Américain Percival Everett (L'Olivier) figure ainsi parmi les titres les plus cités avec huit occurrences.
Parmi les titres plébiscités, plusieurs confirment leur rayonnement en entrant dans de grandes sélections littéraires : Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L), La maison vide de Laurent Mauvignier (Minuit, déjà prix littéraire Le Monde 2025 et prix des Librairies de Nancy - Le Point) et La Nuit au cœur de Nathacha Appanah (Gallimard) figurent dans la première sélection du Goncourt.
Plusieurs auteurs figurent dans les listes d'autres grands prix de la rentrée.
Les Forces de Laura Vazquez (Éditions du sous-sol) et Au grand jamais de Jakuta Alikavazovic (Gallimard) pour le Décembre ; Jakuta Alikavazovic de nouveau et Nathacha Appanah pour le Renaudot et le Femina, ou encore Laurent Mauvignier pour le Femina.
Enfin à l’international, James de Percival Everett, traduit par Anne-Laure Tissut (éd. de L’Olivier), a reçu le Pulitzer de la fiction au printemps dernier.
Les 11 titres les plus recommandés dans les médias pour la rentrée 2025
> 13 fois : Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
> 12 fois : La maison vide de Laurent Mauvignier (Minuit)
> 11 fois : La nuit au cœur de Nathacha Appanah (Gallimard)
> 8 fois : Au grand jamais de Jakuta Alikavazovic (Gallimard)
> 8 fois : James, de Percival Everett, traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne-Laure Tissut (éd. de L’Olivier)
> 7 fois : Toutes les vies de Rebeka Warrior (Stock)
> 7 fois : Jouer le jeu de Fatima Daas (Éditions de l’Olivier)
> 6 fois : Tant mieux, d’Amélie Nothomb (Albin Michel)
> 6 fois : Le livre de Kells de Sorj Chalandon (Grasset)
> 6 fois : Les Forces de Laura Vazquez (Éditions du sous-sol)
Le Monde
- Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- In violentia veritas de Catherine Girard (Grasset)
- Une drôle de peine de Justine Lévy (Stock)
- Simone Emonet de Catherine Millet (Flammarion)
- Je ne te verrai pas mourir d’Antonio Muñoz Molina, traduit de l'espagnol par Isabelle Gugnon (Seuil)
- Les Forces de Laura Vazquez (Éditions du sous-sol)
- La maison vide de Laurent Mauvignier (Minuit)
- Le Bel Obscur de Caroline Lamarche (Seuil)
- Des inconnus à qui parler de Camille Bordas (Denoël)
- La nuit au cœur de Nathacha Appanah (Gallimard)
Vogue
Premiers romans
- Combats de filles de Rita Bullwinkel (La croisée)
- La collision de Paul Gasnier (Gallimard)
- Avale de Séphora Pondi (Grasset)
- Trois enterrements d’Anders Lustgarten (Actes Sud)
- Couplets de Maggie Millner (Les Escales)
- Brutes de Dizz Tate (Éditions de l’Olivier)
- Quatre jours sans ma mère de Ramsès Kefi (Philippe Rey)
- Décrochages de Julien Fyot (Viviane Hamy éditions)
- Yann dans la nuit de Julie Brafman (Flammarion)
- Toutes les vies de Rebeka Warrior (Stock)
- Géographie de l’oubli de Raphaël Sigal (Robert Laffont)
Romans étrangers
- James, de Percival Everett, traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne-Laure Tissut (éd. de L’Olivier)
- 16 parties de chasse de Tehila Hakimi traduit de l’hébreu par Rosie Pinhas-Delpuech (Denoël)
- L'Éducation physique, de Rosario Villajos, traduit par Nathalie Serny (Métailié)
- Les Éléments, de John Boyne, traduit de l’anglais (Irlande) par Sophie Aslanides (JC Lattès)
- Nous serons tempête de Jesmyn Ward trad. de l’anglais par Charles Recoursé (Belfond)
- DJ Bambi d’Auður Ava Ólafsdóttir, traduit de l’islandais par Eric Boury (Zulma)
- Softcore de Brittany Newell, traduit de l’anglais (États-Unis) par Diniz Galhos (Pauvert)
- Nos soirées d’Alan Hollinghurst, traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par David Fauquemberg, (Albin Michel)
- Les Étoiles errantes de Tommy Orange, traduit de l'anglais par Stéphane Roques (Albin Michel)
- Par où entre la lumière, par Joyce Maynard, traduit de l’anglais par Florence Lévy-Paoloni (Philippe Rey)
- Les Sœurs de Jonas Hassen Khemiri traduit du suédois par Marianne Ségol-Samoy (Actes Sud)
Romans français
- La nuit au cœur de Nathacha Appanah (Gallimard)
- Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- Au grand jamais de Jakuta Alikavazovic (Gallimard)
- La maison vide de Laurent Mauvignier (Minuit)
- Paranoïa de Lise Charles (P.O.L)
- Au temps de ma colère de Camille de Toledo (Verdier)
- Tant mieux, d’Amélie Nothomb (Albin Michel)
- Les Dernières Écritures d’Hélène Zimmer (P.O.L)
- Tressaillir de Maria Pourchet (Stock)
- La mauvaise joueuse, de Victor Jestin (Flammarion)
- La Vocation de Chloé Saffy (Le Cherche-Midi)
- Finistère d’Anne Berest (Albin Michel)
- Jouer le jeu de Fatima Daas (Éditions de l’Olivier)
- Surchauffe, de Nathan Devers (Albin Michel)
Elle
Rentrée française
- La maison vide, de Laurent Mauvignier (Minuit)
- Kolkhoze, d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- La nuit au cœur, de Nathacha Appanah (Gallimard)
- Des inconnus à qui parler, de Camille Bordas (Denoël)
- Où les étoiles tombent, de Cédric Sapin-Defour (Stock)
- L’adieu au visage, de David Deneufgermain (Marchialy)
- La collision, de Paul Gasnier (Gallimard)
- Avale, de Sephora Pondi (Grasset)
- Le Désir dans la cage, de Alissa Wenz (Les Avrils)
- Nourrices, de Séverine Cressan (Dalva)
Rentrée étrangère
- Les Éléments, de John Boyne, traduit de l’anglais (Irlande) par Sophie Aslanides (JC Lattès)
- Nous serons tempête de Jesmyn Ward trad. de l’anglais par Charles Recoursé (Belfond)
- La déroute, de Emma Pattee, traduit par Alice Delarbre (Buchet Chastel)
- Eclaircie, de Carys Davies, traduit de l'anglais par David Fauquemberg (Quai Voltaire)
- Un monde nouveau, par Jess Row, traduit de l’anglais par Stéphane Roques (Albin Michel)
France Culture
- Au grand jamais de Jakuta Alikavazovic (Gallimard)
- Tambora d’Hélène Laurain (Verdier)
- Finistère d’Anne Berest (Albin Michel)
- Toutes les vies de Rebeka Warrior (Stock)
- Jouer le jeu de Fatima Daas (Éditions de l’Olivier)
- Perpétuité de Guillaume Poix (Gallimard)
- La maison vide de Laurent Mauvignier (Minuit)
- Les Crédits de Damien Peynaud (Noir sur Blanc)
France Inter
Romans français
- La nuit au cœur de Nathacha Appanah (Gallimard)
- Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- Crache le soleil de Camille Goudeau (Michel Lafon)
- Quatre jours sans ma mère de Ramsès Kefi (Philippe Rey)
- La Maison vide de Laurent Mauvignier (Minuit)
- Je rouille de Robin Watine (Calmann-Lévy)
Romans étrangers
- Les Éléments, de John Boyne, traduit de l’anglais (Irlande) par Sophie Aslanides (JC Lattès)
- Le Fou de Dieu au bout du monde de Javier Cercas (Actes Sud)
- L’Appel – Histoire d’une femme argentine, de Leïla Guerriero, traduit de l’espagnol (Argentine) par Maïra Muchnik, (Payot & Rivages)
- DJ Bambi d’Auður Ava Ólafsdóttir, traduit de l’islandais par Eric Boury (Zulma)
Télérama
Livres français
- Où s’adosse le ciel, de David Diop (Julliard)
- La Joie ennemie, de Kaouther Adimi (Grasset)
- L’Épris littéraire, de Julien Leschiera (Le Dilettante)
- Peau d'ourse, de Grégory Le Floch (Seuil)
- Jacky, d’Anthony Passeron (Grasset)
- In violentia veritas, de Catherine Girard (Grasset)
- Toutes les vies, de Rebeka Warrior (Stock)
- Irina, un opéra russe, d’Anouar Benmalek (Emmanuelle Collas)
- Mémoires de Mayron Schwartz, de Jean-François Beauchemin (Québec Amérique)
- La Culture du féminicide, d’Ivan Jablonka (Seuil)
- La Maison vide, de Laurent Mauvignier (Minuit)
- Simone Emonet, de Catherine Millet (Flammarion)
- Kolkhoze, d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- La Nuit au cœur, de Nathacha Appanah (Gallimard)
- Au grand jamais, de Jakuta Alikavazovic (Gallimard)
- Les Forces, de Laura Vazquez (Éditions du Sous-sol)
- Écarlate, de Christina Pawlowska
- Le Livre de Kells, de Sorj Chalandon (Grasset)
- Celle-qui-sait-les-herbes, de Marc Graciano (Le Tripode)
- Mettre au monde, de Cloé Korman (Flammarion)
- La Marchande d’oublies, de Pierre Jourde (Gallimard)
- Un frère, de David Thomas (Éditions de l’Olivier)
- La Folie océan, de Vincent Message (Seuil)
- Les Projectiles, de Louise Rose (P.O.L)
- Géographie de l’oubli, de Raphaël Sigal (Robert Laffont)
Premiers romans
- Écarlate, de Christina Pawlowska, Éd. du Sous-sol
- Avale, de Séphora Pondi (Grasset)
- Toutes les vies, de Rebeka Warrior (Stock)
- Les Projectiles, de Louise Rose (P.O.L)
- In violentia veritas, de Catherine Girard (Grasset)
- La Bonne Mère, de Mathilda di Matteo (L’Iconoclaste)
- La Bouche dans le sable, de Kévin Thiévon (Le bruit du monde)
- Géographie de l’oubli, de Raphaël Sigal (Robert Laffont)
Romans étrangers
- Les Bons Voisins, de Nina Allan, traduit de l’anglais par Bernard Sigaud (Tristram)
- Hamlet le long du mur, d’Isabella Hammad, traduit de l’anglais par Josée Kamoun, (Gallimard)
- Le Fou de Dieu au bout du monde, de Javier Cercas, traduit de l’espagnol par Aleksandar Grujičić et Karine Louesdon, (Actes Sud)
- James, de Percival Everett, traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne-Laure Tissut (éd. de L’Olivier)
- Nos soirées d’Alan Hollinghurst, traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par David Fauquemberg, (Albin Michel)
- L’Appel – Histoire d’une femme argentine, de Leïla Guerriero, traduit de l’espagnol (Argentine) par Maïra Muchnik, (Payot & Rivages)
- L’Étrange Tumulte de nos vies, de Claire Messud traduit de l’anglais (Canada) par France Camus-Pichon, (Christian Bourgois)
- Baignade, d’Andrée A. Michaud (Rivages)
- Les Éléments, de John Boyne, traduit de l’anglais (Irlande) par Sophie Aslanides (JC Lattès)
- Passagères de nuit, de Yanick Lahens (Sabine Wespieser)
- Kairos, de Jenny Erpenbeck, traduit de l’allemand par Rose Labourie, (Gallimard)
- L'Éducation physique, de Rosario Villajos, traduit par Nathalie Serny (Métailié)
- La cabane dans les arbres, de Vera Buck, traduit de l'allemand par Brice Germain (Gallmeister)
- Model Home, de Rivers Solomon, traduit de l’anglais par Francis Guévremont, (Aux Forges de Vulcain)
- La Bossue, de Saō Ichikawa, traduit du japonais par Patrick Honnoré, (Globe)
Le Figaro Magazine
- Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- L’Homme sous l’orage, de Gaëlle Nohant (L’Iconoclaste)
- Où les étoiles tombent, de Cédric Sapin-Defour (Stock)
- L’amour moderne, de Louis-Henri de La Rochefoucauld (Robert Laffont)
- Adieu Kolyma, d’Antoine Sénanque (Grasset)
- Tout ira bien, de Laurent Nunez (Rivages)
- Jacky d’Anthony Passeron (Grasset)
- Celle qui fugue, de Cécile Tlili (Calmann-Lévy)
- Au grand jamais de Jakuta Alikavazovic (Gallimard)
- Surchauffe, de Nathan Devers (Albin Michel)
- La Tentation artificielle, de Clément Camar-Mercier (Actes Sud)
- Comme un père, de Christian Authier (Les éditions du rocher)
- La Marchande d’oublies de Pierre Jourde (Gallimard)
- Tout ouïe, d’Alexandre Postel (L’Observatoire)
- Comme en amour, d’Alice Ferney (Actes Sud)
La Tribune Dimanche
- Comme en amour, de Alice Ferney (Actes Sud)
- Un monde nouveau, de Jess Row (Albin Michel)
- Et brûlent les enfances, de Virginie Noar (Les Pérégrines)
- Je rouille, de Robin Watine (Calmann Lévy)
Version Fémina
- L’Étrange Tumulte de nos vies, de Claire Messud traduit de l’anglais (Canada) par France Camus-Pichon, (Christian Bourgois)
- Par où entre la lumière, par Joyce Maynard, traduit de l’anglais par Florence Lévy-Paoloni (Philippe Rey)
- Les Universalistes, de Natasha Brown, traduit par Marguerite Capelle (Grasset)
- Le compromis de Long Island, de Taffy Brodesser-Akner, traduit par Diniz Galhos (Calmann-Lévy)
- Les preuves de mon innocence, par Jonathan Coe, traduit de l’anglais par Marguerite Capelle (Gallimard)
Slate
- Paul prend la forme d'une fille mortelle, de Andrea Lawlor, traduit de l’anglais par Laure Jouanneau-Lopez, (La Croisée)
- Les Forces, de Laura Vazquez (Éditions du sous-sol)
- Même le froid tremble, de Nicole M. Ortega, (Anne Carrière)
- Model Home, de Rivers Solomon, traduit de l’anglais par Francis Guévremont, (Aux Forges de Vulcain)
- Avale, de Séphora Pondi, (Grasset)
- Combats de filles, de Rita Bullwinkel, traduit par Hélène Cohen (La Croisée)
- En finir avec les jours noirs, de Effie Black, traduit par Adrien Durand (Le Gospel)
- Nous sommes faits d'orage, de Marie Charrel, (Les Léonides)
- Avec ma tête d'arabe, de Aïda Amara, (Hors d'atteinte)
- Toutes les vies, de Rebeka Warrior, (Stock)
- Jouer le jeu, de Fatima Daas, (Éditions de l'Olivier)
- La Vocation, de Chloé Saffy, (Le Cherche Midi)
- Les Fragments d'Hélène, de Johanna Luyssen, (Julliard)
- James, de Percival Everett, traduit par Anne-Laure Tissut, (Éditions de l'Olivier)
- Et brûlent les enfances, de Virginie Noar, (Les Pérégrines)
- Peau d'ourse, de Grégory Le Floch, (Seuil)
- Brutes, de Dizz Tate, traduit par Madeleine Nasalik, (Éditions de l'Olivier)
- Les Grands Vivants, de Claudius Pan, (La Tribu)
- L'Éducation physique, de Rosario Villajos, traduit par Nathalie Serny (Métailié)
- Les Universalistes, de Natasha Brown, traduit par Marguerite Capelle (Grasset)
L’Express
- Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- Une drôle de peine de Justine Lévy (Stock)
- La nuit au cœur de Nathacha Appanah (Gallimard)
- Je voulais vivre, d’Adélaïde de Clermont-Tonnerre (Grasset)
- Tant mieux, d’Amélie Nothomb (Albin Michel)
- Le livre de Kells de Sorj Chalandon (Grasset)
- La peau dure, de Vanessa Schneider (Flammarion)
- In violentia veritas de Catherine Girard (Grasset)
- L’Albatros, de Raphaël Enthoven (L’Observatoire)
- James, de Percival Everett, traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne-Laure Tissut (éd. de L’Olivier)
Les Inrockuptibles
Premiers romans
- Quatre jours sans ma mère de Ramsès Kefi (Philippe Rey)
- Combats de filles de Rita Bullwinkel (La croisée)
- Avale de Séphora Pondi (Grasset)
- Toutes les vies de Rebeka Warrior (Stock)
- La Collision de Paul Gasnier (Gallimard)
- Allô la Place de Nassera Tamer (Verdier)
- On m’a jeté l’œil d’Anya Nousri (Le Castor Astral)
- L’Entroubli de Thibault Daelman (Le Tripode)
- La Bonne Mère de Mathilda di Matteo (L’Iconoclaste)
- Tu cherches quoi ? d’Adrien Le Bot (Allia)
Romans français
- Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- Ils appellent ça l’amour de Chloé Delaume (Seuil)
- Flamme, volcan, tempête – Un portrait de Christine Pawlowska de Pierre Boisson (Éditions du sous-sol)
- Feux sacrés de Cécile Guilbert (Grasset)
- Paranoïa de Lise Charles (P.O.L)
- Autoportrait à l’encre noire de Lydia Salvayre (Robert Laffont)
- Tovaangar de Cécile Minard (Rivages)
- Au grand jamais de Jakuta Alikavazovic (Gallimard)
- Jouer le jeu de Fatima Daas (Éditions de l’Olivier)
- Pente raide de Marin Fouqué et Samira Negrouche (Actes Sud)
- La Part sauvage de Marc Weitzmann (Grasset)
- Ce refrain qui te plaît de Nadège Erika (HarperCollins)
- Des obus, des fesses et des prothèses d’Arno Bertina (Gallimard)
- Les Dernières Écritures d’Hélène Zimmer (P.O.L)
- Les Fragments d’Hélène de Johanna Luyssen (Julliard)
- La Maison vide de Laurent Mauvignier (Minuit)
- Jacky d’Anthony Passeron (Grasset)
- Perpétuité de Guillaume Poix (Gallimard)
- Les Forces de Laura Vazquez (Éditions du sous-sol)
Romans étrangers
- Pathemata ou l’Histoire de ma bouche de Maggie Nelson, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Céline Leroy (Éditions du sous-sol)
- Les Vulnérables de Sigrid Nunez, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Mathilde Bach (Stock)
- L’Appel – Histoire d’une femme argentine, de Leïla Guerriero, traduit de l’espagnol (Argentine) par Maïra Muchnik, (Payot & Rivages)
- Les Bons Voisins de Nina Allan, traduit de l'anglais par Bernard Sigaud (Tristram)
- Hamlet le long du mur, d’Isabella Hammad, traduit de l’anglais par Josée Kamoun, (Gallimard)
- Les Sœurs de Jonas Hassen Khemiri traduit du suédois par Marianne Ségol-Samoy (Actes Sud)
- L’Histoire de Mother Naked de Glen James Brown, traduit de l'anglais par Claire Charrier (Les Éditions du Typhon)
- L'Éducation physique, de Rosario Villajos, traduit par Nathalie Serny (Métailié)
Les Échos
Romans français
- Les ombres du monde de Michel Bussi (Presses de la cité)
- Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- Le livre de Kells de Sorj Chalandon (Grasset)
- La Maison vide de Laurent Mauvignier (Minuit)
- Marcher dans tes pas de Léonor de Récondo (L’Iconoclaste)
- Simone Émonet de Catherine Millet (Flammarion)
- Tressaillir de Maria Pourchet (Stock)
- Autoportrait à l’encre noire de Lydia Salvayre (Robert Laffont)
- Les Forces de Laura Vazquez (Éditions du Sous-sol)
- Haute-folie d’Antoine Wauters (Gallimard)
Romans étrangers
- Les Bons Voisins de Nina Allan, traduit de l'anglais par Bernard Sigaud (Tristram)
- Le Fou de Dieu au bout du monde de Javier Cercas traduit de l’espagnol par Aleksandar Grujicic et Karine Louesdon (Actes Sud)
- Eclaircie, de Carys Davies, traduit de l'anglais par David Fauquemberg (Quai Voltaire)
- James, de Percival Everett, traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne-Laure Tissut (éd. de L’Olivier)
- L’Appel – Histoire d’une femme argentine, de Leïla Guerriero, traduit de l’espagnol (Argentine) par Maïra Muchnik, (Payot & Rivages)
- Au fond des années passées de Jens Christian Grondahl, traduit du danois par Alain Gnaedig (Gallimard)
- Nos soirées d’Alan Hollinghurst, traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par David Fauquemberg, (Albin Michel)
- L’Étrange Tumulte de nos vies, de Claire Messud traduit de l’anglais (Canada) par France Camus-Pichon, (Christian Bourgois)
- Je ne te verrai pas mourir d’Antonio Muñoz Molina, traduit de l'espagnol par Isabelle Gugnon (Seuil)
- Les Vulnérables de Sigrid Nunez, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Mathilde Bach (Stock)
Polars
- Baignades, d'Andrée A. Michaud (Rivages noir)
- La cabane dans les arbres, de Vera Buck, traduit de l'allemand par Brice Germain (Gallmeister)
- Nulle part où revenir, de Henry Wise, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Julie Sibony, (Sonatine)
- Les mouettes mission Iran, de Thomas Cantaloube, (Fleuve noir)
- La femme du serial killer, d'Alice Hunter, traduit de l'anglais par Sebastian Danchin, (Ed de l'Archipel)
- L'affaire Balzac, d'Hervé Jubert, (La manufacture de livres)
- La honte, d'Arttu Tuominen, traduit du finnois par Claire Saint-Germain, (La Martinière)
Huffpost
- Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- Toutes les vies de Rebeka Warrior (Stock)
- La maison vide de Laurent Mauvignier (Minuit)
- Jouer le jeu de Fatima Daas (Éditions de l’Olivier)
- La nuit au cœur de Nathacha Appanah (Gallimard)
CNews
Trois thrillers coups de cœur
- Quand ils viendront, René Manzor, (Calmann-Levy)
- Le secret des secrets, Dan Brown, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Dominique Defert, et Carole Delporte (JC Lattès)
- Transylvania, Nicolas Beuglet, (XO éditions)
Philosophie Magazine
- Haute-folie d’Antoine Wauters (Gallimard)
- La nuit au cœur de Nathacha Appanah (Gallimard)
- Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- James, de Percival Everett, traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne-Laure Tissut (éd. de L’Olivier)
- Ils appellent ça l’amour, de Chloé Delaume (Seuil)
- La Déprise, de Clotilde Leguil (Seuil)
- Où les étoiles tombent, de Cédric Sapin-Defour (Stock)
- Vertu et Rosalinde, de Anne Serre (Mercure de France)
- Tovaangar de Céline Minard (Rivages)
- Le Fou de Dieu au bout du monde de Javier Cercas traduit de l’espagnol par Aleksandar Grujicic et Karine Louesdon (Actes Sud)
Le Pèlerin
- Les mandragores de Marius Degardin (Éd. du Panseur)
- Tant mieux d'Amélie Nothomb (Albin Michel)
- L'homme sous l'orage de Gaëlle Nohant (L'iconoclaste)
- L'homme qui lisait des livres de Rachid Benzine (Julliard)
- Où les étoiles tombent de Cédric Sapin-Defour (Stock)
- Marcher dans tes pas de Léonor de Récondo (L'iconoclaste)
- Zem de Laurent Gaudé (Actes Sud)
- Le livre de Kells de Sorj Chalandon (Grasset)
- La maison vide de Laurent Mauvignier (Éd. de Minuit)
- Le concours de pêche de Loris Chavanette (Allary)
- Paranoïa de Lise Charles (P.O.L)
- Du côté des vivants de Violaine Bérot (Buchet-Chastel)
« Les 5 romans coups de cœur d'écrivaines qui explorent la figure de la mère » de Marie Claire
- Tant mieux, d’Amélie Nothomb (Albin Michel)
- Une drôle de peine de Justine Lévy (Stock)
- Simone Emonet de Catherine Millet (Flammarion)
- Au grand jamais de Jakuta Alikavazovic (Gallimard)
- La Bonne Mère de Mathilda di Matteo (L’Iconoclaste)
Le Nouvel Obs
Romans Français
- Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- La nuit au cœur de Nathacha Appanah (Gallimard)
- La maison vide de Laurent Mauvignier (Minuit)
- Tovaangar de Cécile Minard (Rivages)
- Tressaillir de Maria Pourchet (Stock)
- Jouer le jeu de Fatima Daas (Éditions de l’Olivier)
- In violentia veritas de Catherine Girard (Grasset)
- Finistère d’Anne Berest (Albin Michel)
- Simone Emonet de Catherine Millet (Flammarion)
- Toutes les vies de Rebeka Warrior (Stock)
- L’Oreille absolue, d’Agnès Desarthe (L’Olivier)
- Où s’adosse le ciel, de David Diop (Julliard)
- Flamme, volcan, tempête – Un portrait de Christine Pawlowska de Pierre Boisson (Éditions du sous-sol)
- Où les étoiles tombent de Cédric Sapin-Defour (Stock)
- Et toute la vie devant nous, d’Olivier Adam (Flammarion)
- Au temps de ma colère de Camille de Toledo (Verdier)
- Cantique du chaos, de Mathieu Belezi (Robert Laffont)
- Nerona, d’Hélène Frappat (Actes Sud)
- Des inconnus à qui parler de Camille Bordas (Denoël)
- Au grand jamais de Jakuta Alikavazovic (Gallimard)
- Le livre de Kells de Sorj Chalandon (Grasset)
- Tant mieux, d’Amélie Nothomb (Albin Michel)
- Cœur de cochon, de Susie Morgenstern (JC Lattès)
- Ramsès de Paris, d’Alain Mabanckou (Seuil)
- Aimer, de Sarah Chiche (Julliard)
Romans étrangers
- Nous serons tempête de Jesmyn Ward trad. de l’anglais par Charles Recoursé (Belfond)
- L’Appel – Histoire d’une femme argentine, de Leïla Guerriero, traduit de l’espagnol (Argentine) par Maïra Muchnik, (Payot & Rivages)
- Anima, par Kapka Kassabova, trad. de l’anglais par Morgane Saysana (Marchialy)
- Le Fou de Dieu au bout du monde de Javier Cercas traduit de l’espagnol par Aleksandar Grujicic et Karine Louesdon (Actes Sud)
- 16 parties de chasse de Tehila Hakimi traduit de l’hébreu par Rosie Pinhas-Delpuech (Denoël)
- Les Vulnérables de Sigrid Nunez traduit de l’anglais par Mathilde Bach (Stock)
- Les Sœurs de Jonas Hassen Khemiri traduit du suédois par Marianne Ségol-Samoy (Actes Sud)
- Les Universalistes, par Natasha Brown, traduit de l’anglais par Marguerite Capelle (Grasset)
- L’Étrange Tumulte de nos vies, de Claire Messud traduit de l’anglais (Canada) par France Camus-Pichon, (Christian Bourgois)
- Le Grand fleuve amour, par Leta Semadeni, traduit de l’allemand (Suisse) par Barbara Fontaine (Zulma)
- Les Fleuves du ciel, par Elif Shafak, traduit de l’anglais par Dominique Goy-Blanquet (Flammarion)
- Chez nous, par Phillip B. Williams, traduit de l’anglais par Charles Recoursé (Robert Laffont)
- Ce qui luit dans les ténèbres, par Péter Nadas, traduit du hongrois par Sophie Aude (Noir sur blanc)
- Couplets, une histoire d’amour, par Maggie Millner, traduit de l’anglais par Julia Kerninon (les Escales)
- Le Jardinier et la mort, par Guéorgui Gospodinov, traduit du bulgare par Marie Vrinat-Nikolov (Gallimard)
- James, de Percival Everett, traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne-Laure Tissut (éd. de L’Olivier)
- Les preuves de mon innocence, par Jonathan Coe, traduit de l’anglais par Marguerite Capelle (Gallimard)
- Par où entre la lumière, par Joyce Maynard, traduit de l’anglais par Florence Lévy-Paoloni (Philippe Rey)
- Cet autre Eden, par Paul Harding, traduit de l’anglais par Pierre Matthieu (Buchet-Chastel)
- Les Bons Voisins, par Nina Allan, traduit de l’anglais par Bernard Sigaud (Tristram)
- Ædnan, Terre-mère, par Linnea Axelsson, traduit du suédois par Rachel Erdmann (Paulsen)
- Un monde nouveau, par Jess Row, traduit de l’anglais par Stéphane Roques (Albin Michel)
- Les Éléments, de John Boyne, traduit de l’anglais (Irlande) par Sophie Aslanides (JC Lattès)
- Combats de filles, par Rita Bullwinkel, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Hélène Cohen (la Croisée)
- A la table des loups, par Adam Rapp, traduit de l’anglais par Sabine Porte (Seuil)
Cosmopolitan
- Tant mieux, d’Amélie Nothomb (Albin Michel)
- Tressaillir de Maria Pourchet (Stock)
- Jouer le jeu de Fatima Daas (Éditions de l’Olivier)
- James, de Percival Everett, traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne-Laure Tissut (éd. de L’Olivier)
- La Nuit au cœur, de Nathacha Appanah (Gallimard)
- La Collision de Paul Gasnier (Gallimard)
- Je voulais vivre, d’Adélaïde de Clermont-Tonnerre (Grasset)
Le Parisien
- La Bonne Mère de Mathilda di Matteo (L’Iconoclaste)
- Les Certitudes, de Marie Semelin (JC Lattès)
- Nourrices, de Séverine Cressan (Dalva)
- La Collision de Paul Gasnier (Gallimard)
- Quatre jours sans ma mère de Ramsès Kefi (Philippe Rey)
L’Humanité
Romans français
- La Maison vide, de Laurent Mauvignier (Minuit)
- Ils appellent ça l’amour, de Chloé Delaume (Seuil)
- Des inconnus à qui parler, de Camille Bordas (Denoël)
- Zem, de Laurent Gaudé (Actes Sud)
- L’Oreille absolue, d’Agnès Desarthe (L’Olivier)
- Qui tombe des étoiles, de Julien d’Abrigeon (Le Quartanier)
- Au grand jamais, de Jakuta Alikavazovic (Gallimard)
- Nerona, d’Hélène Frappat (Actes Sud)
- Nancy-Saïgon, d’Adrien Genoudet (Seuil)
- Tovaangar, de Céline Minard (Rivages)
- Kolkhoze d’Emmanuel Carrère (P.O.L)
- Le livre de Kells de Sorj Chalandon (Grasset)
- Les Forces de Laura Vazquez (Éditions du Sous-sol)
- La Nuit au cœur, de Nathacha Appanah (Gallimard)
- Où s’adresse le ciel, de David Diop (Julliard)