L’association culturelle veut ainsi rétablir que "contrairement à ce que ce candidat a affirmé le 12 novembre sur la radio Lyon Première, le président de l’Arald, élu par le conseil d'administration en 2012 pour mener le redressement de l'Agence, n'est ni "proche du Parti socialiste", ni "poursuivi par la Justice"".
Le communiqué (voir ci-contre) explique l'affaire, en précisant que "ces propos mêlent injustement les dirigeants actuels de l'association aux agissements délictueux d'un ancien salarié, licencié en 2012 et poursuivi pénalement par le procureur de la République du tribunal de grande instance d'Annecy".
"Grâce au soutien réaffirmé des partenaires publics de l'association ainsi qu'à la mobilisation des professionnels du livre au niveau régional et national, l'Arald a tourné la page du redressement judiciaire en 2013, avec un projet de redéploiement de ses activités confié à une équipe restreinte de 7 salariés menée par un nouveau directeur", précise l’association.