Plon publie jeudi 4 avril Présumé Coupable de Vincent Crase. L'ouvrage, écrit dans le secret, était absent des programmes de l'éditeur, qui précise ne pas vouloir trop en dire sur ce document, qui revient sur l'affaire tentaculaire autour d'Alexandre Benalla et établit le portrait des chefs de la "macronie". Une instruction judiciaire est en cours.
Ancien collaborateur de l'Elysée, chef de sécurité de La République en Marche, et proche d'Alexandre Benalla, cet officier de réserve de la gendarmerie, ancien prof, est mêlé à l'affaire Benalla. Invité de Marc-Olivier Fogiel sur RTL ce mercredi soir, il avait jusque-là gardé le silence. Il est mis en examen depuis juillet dernier dans le cadre de l'enquête sur les violences du 1er mai survenues place de la Contrescarpe, soupçonné d'avoir agressé des manifestants. RTL rediffusera des extraits de cet entretien exclusif dans RTL Matin ce jeudi 4 avril.
Confessions
En plus de révéler de nombreux détails sur ce témoignage, Le Parisien publiera une interview de Vincent Crase dans son édition de demain où il explique pourquoi il a voulu témoigner à travers un livre: "Je ne voulais pas réagir à chaud. Quelques fois, j’ai eu envie de dire : « Stop ! Ça ne s’est pas passé comme ça. » J’espère que ce livre permettra de dire qui je suis, pas ce barbouze qu’on a fait de moi ! Je n’ai jamais été condamné, je ne suis pas un mec violent ! Ni un amoureux de la castagne."
Il confie également avoir prévenu Alexandre Benalla: "Il avait peur que je raconte des conneries sur lui, mais objectivement, j’en fais un portrait balancé" explique-t-il au journal. Ils sont alors côte à côté sur un banc au dépôt, alors que la justice interdit tout contact entre les deux hommes.
Selon le quotidien régional, qui a pu lire le livre avant parution, l'auteur reste plus prudent quand il s'agit de la violation supposée de son contrôle judiciaire en juillet ou de son contrat de sécurité avec un oligarque russe.
Pour Vincent Crase, "C’est une histoire ridicule qui a pris des proportions folles. Benalla a été un défouloir."
Ancien collaborateur de l'Elysée, chef de sécurité de La République en Marche, et proche d'Alexandre Benalla, cet officier de réserve de la gendarmerie, ancien prof, est mêlé à l'affaire Benalla. Invité de Marc-Olivier Fogiel sur RTL ce mercredi soir, il avait jusque-là gardé le silence. Il est mis en examen depuis juillet dernier dans le cadre de l'enquête sur les violences du 1er mai survenues place de la Contrescarpe, soupçonné d'avoir agressé des manifestants. RTL rediffusera des extraits de cet entretien exclusif dans RTL Matin ce jeudi 4 avril.
Confessions
En plus de révéler de nombreux détails sur ce témoignage, Le Parisien publiera une interview de Vincent Crase dans son édition de demain où il explique pourquoi il a voulu témoigner à travers un livre: "Je ne voulais pas réagir à chaud. Quelques fois, j’ai eu envie de dire : « Stop ! Ça ne s’est pas passé comme ça. » J’espère que ce livre permettra de dire qui je suis, pas ce barbouze qu’on a fait de moi ! Je n’ai jamais été condamné, je ne suis pas un mec violent ! Ni un amoureux de la castagne."
Il confie également avoir prévenu Alexandre Benalla: "Il avait peur que je raconte des conneries sur lui, mais objectivement, j’en fais un portrait balancé" explique-t-il au journal. Ils sont alors côte à côté sur un banc au dépôt, alors que la justice interdit tout contact entre les deux hommes.
Selon le quotidien régional, qui a pu lire le livre avant parution, l'auteur reste plus prudent quand il s'agit de la violation supposée de son contrôle judiciaire en juillet ou de son contrat de sécurité avec un oligarque russe.
Pour Vincent Crase, "C’est une histoire ridicule qui a pris des proportions folles. Benalla a été un défouloir."
