Tous Coupat, tous coupables : le moralisme antiviolence
Nouvelles éditions Lignes
A l'occasion du procès en cours concernant les accusés de Tarnac, le philosophe dénonce la dérive sécuritaire des enjeux politiques. Il accuse les sociétés modernes de concentrer la violence dans les mains de l'appareil d'Etat tout en légitimant le discours qui désigne l'initiative de la violence chez l'autre, le pauvre, l'immigré, la plèbe ou l'Etat voyou.