Misère et splendeur de la traduction
Les Belles Lettres
Rédigé en 1937 à Paris, cet essai ouvre un débat sur la traduction et se présente comme la transcription d'une séance entre savants au Collège de France. Selon l'un des intervenants, la traduction n'appartiendrait pas au même genre littéraire que le texte traduit, "elle n'est pas l'oeuvre mais un chemin vers l'oeuvre". Elle interroge des thématiques reliées aux sciences humaines.