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Les finalistes du Grand Prix de l’imaginaire 2024

Chris Vuklisevic - Photo © DR/Denoël

Les finalistes du Grand Prix de l’imaginaire 2024

Le Grand Prix de l'imaginaire 2024 dévoile ses finalistes pour les 50 ans de son prix. Le palmarès sera annoncé le 18 mai à Montpellier lors du festival de la Comédie du livre - Dix jours en mai.

Par Antoine Masset
Créé le 16.04.2024 à 13h55

Le Grand Prix de l’imaginaire (GPI) annonce ses finalistes pour les 50 ans du trophée. Dorénavant lié au festival de la Comédie du livre – Dix jours en mai (10 au 19 mai) de Montpellier après treize années passées à Étonnants voyageurs à Saint-Malo, le GPI récompense les livres publiés en 2023 dans le domaine de l’imaginaire. Les lauréats seront proclamés le 18 mai à Montpellier lors du festival.

Liste des finalistes 2024 :

Roman francophone

  • Trois battements, un silence, d’Anne Fakhouri (Argyll)
  • Vie contre vie, de Tristan Garcia (Gallimard)
  • Le Tournoi des preux / Le Conte de l’assassin, de Jean-Philippe Jaworski (Les Moutons Électriques)
  • Du thé pour les fantômes, de Chris Vuklisevic (Denoël)

 

Roman étranger

  • L’École des bonnes mères, de Jessamine Chan (Buchet-Chastel)
  • Le Pays sans lune, de Simon Jimenez (J’ai lu)
  • La Mer de la Tranquillité, d’Emily St. John Mandel (Rivages)
  • Le Ministère du futur, de Kim Stanley Robinson (Bragelonne)
  • Les Voleurs d’Innocence, de Sarai Walker (Gallmeister)

 

Nouvelle/Novella francophone

  • Traduction vers le rose, d’Esmée Dubois (1115)
  • Rossignol, d’Audrey Pleynet (Le Bélial’)

 

Nouvelle/Novella étrangère

  • Une prière pour les cimes timides, de Becky Chambers (L’Atalante)
  • Protectorats, de Ray Nayler (Le Bélial’ & Quarante-Deux)
  • Illuminations, d’Alan Moore (Bragelonne)
  • Le Maître, de Claire North (Le Bélial’)

 

Roman jeunesse francophone

  • Le Règne des chimères, d’Ariel Holzl (Slalom)
  • Histoire de la fille qui ne voulait tuer personne, de Jérôme Leroy (Syros)
  • Obsidienne, de Gaëlle Maumont (Gulf Stream)
  • La Sorcière sans nombril, de Julia Thévenot (Gallimard Jeunesse)

 

Roman jeunesse étranger

  • L’Étrange voyage de Clover Elkin, d’Eli Brown (Bayard)
  • Six couronnes écarlates, d’Elizabeth Lim (Rageot)
  • Sanfoka, la fille adoptive de la mort, de Nnedi Okorafor (L’école des loisirs)
  • Saules de brume, de Jeff Wheeler (Rivka)

 

Traduction (Prix Jacques Chambon)

  • Mikael Cabon pour Comme un diamant dans ma mémoire, de Guy Gavriel Kay (L’Atalante)
  • Getty Dambury pour La Sirène de Black Conch, de Monique Roffey (Mémoire d’Encrier)
  • Gilles Goullet pour Astronautes morts, de Jeff Vandermeer (Au Diable Vauvert)
  • Claire Kreutzberger pour Illuminations, d’Alan Moore (Bragelonne)

 

Graphisme (Prix Wojtek Siudmak)

  • Samuel Araya pour Le Grand Dieu Pan, d’Arthur Machen (Callidor)
  • Neil Blevins pour Mégastructures, de Neil Blevins (Mnémos)
  • Anouck Faure pour Les Trois Malla-Moulgars, de Walter de la Mare (Callidor)
  • Manchu pour Protectorats, de Ray Nayler (Le Bélial’ & Quarante-Deux)
  • Feifei Ruan pour Une prière pour les cimes timides, de Becky Chambers (L’Atalante)

 

Essai

  • Dictionnaire utopique de la science-fiction, d’Ugo Bellagamba (Le Bélial’)
  • Voir l’invisible. Histoire visuelle du mouvement merveilleux-scientifique (1909-1930), de Fleur Hopkins-Loféron (Champ Vallon)
  • L’Art du vertige, de Serge Lehman (Les Moutons Électriques)
  • Terry Pratchett : Une vie avec notes de bas de page, la biographie officielle, de Rob Wilkins (L’Atalante)

 

Prix spécial

  • Guillaume Chamanadjian et Claire Duvivier pour l’aventure littéraire de la double trilogie La Tour de garde, portée par David Meulemans aux éditions Aux forges de Vulcain.
  • Aux forges de Vulcain et Callidor pour leur travail conjoint autour d’Arthur Machen : Arthur Machen, La Colline des rêves et autres récits fantastiques (nouvelles traductions des grands textes des années 1896-1917 et première traduction en français d’Un Fragment d’existence, Aux forges de Vulcain) et Le grand Dieu Pan (Callidor)
  • Francis Berthelot pour Auto-Uchronia ou Fugue en zut mineur, exercice d’autobiographie uchronique qui forme la coda d’une œuvre singulière dans le corpus de l’imaginaire français (Dystopia)
  • Au Diable Vauvert pour la première publication en France de la trilogie d’Octavia Butler, Xénogénésis

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