Jocelyn Rigault, 39 ans, quitte la direction de La Martinière pour la direction des éditions J'ai lu, à compter du 7 avril. Il remplace Anna Pavlowitch partie en janvier pour s'occuper d'un pôle de littérature générale chez Flammarion (groupe Madrigall), qui réunit le département littérature fiction et non fiction, ainsi que Pygmalion, Arthaud et le label Ombres Noires. C'est le directeur général de Flammarion, Gilles Haéri, qui assure l'intérim en attendant l'arrivée du nouveau directeur.
Après des études à Londres, Jocelyn Rigault a enseigné les langues en Indonésie, au Kosovo et au Costa Rica, puis a passé plusieurs années en poste au sein de services culturels d'ambassades de France, notamment au Nigeria, au Mexique et en Afghanistan.
De retour en France en 2006, il a intégré le groupe Hachette Livre, au sein d'Hachette Livre International où il a officié pendant cinq ans en qualité de responsable commercial, puis de directeur délégué au développement.
En septembre 2011, il devient le directeur des éditions de la Bibliothèque nationale de France où il restera un an, se concentrant sur la mise en place d'une politique de publications numériques.
Au sein de la Martinière où il est resté deux ans et demi, il a encouragé les partenariats avec les musées, travaillé à développer des projets à visée internationale vendus à la foire de Francfort et particulièrement soigné l'édition de photographies, ADN de la maison. Il a dû faire face à un plan social, décidé en avril 2013, avec la suppression de 19 postes et une baisse de 30 % de la production.
Après des études à Londres, Jocelyn Rigault a enseigné les langues en Indonésie, au Kosovo et au Costa Rica, puis a passé plusieurs années en poste au sein de services culturels d'ambassades de France, notamment au Nigeria, au Mexique et en Afghanistan.
De retour en France en 2006, il a intégré le groupe Hachette Livre, au sein d'Hachette Livre International où il a officié pendant cinq ans en qualité de responsable commercial, puis de directeur délégué au développement.
En septembre 2011, il devient le directeur des éditions de la Bibliothèque nationale de France où il restera un an, se concentrant sur la mise en place d'une politique de publications numériques.
Au sein de la Martinière où il est resté deux ans et demi, il a encouragé les partenariats avec les musées, travaillé à développer des projets à visée internationale vendus à la foire de Francfort et particulièrement soigné l'édition de photographies, ADN de la maison. Il a dû faire face à un plan social, décidé en avril 2013, avec la suppression de 19 postes et une baisse de 30 % de la production.
