L’association Mare Nostrum lance son Grand prix Méditerranéen de littérature et de spiritualité. Le prix récompense deux ouvrages, un essai et un roman, consacrés à des thématiques exclusivement méditerranéennes, sans distinction entre les publications en langue française ou étrangère.
Créée en septembre dernier, l’association Mare Nostrum poursuit l’objectif de mettre en valeur le patrimoine culturel méditerranéen et de "parler de livres qui passent sous les radars", explique l’auteur et secrétaire général du prix Jean-Jacques Bedu. En six mois, les 26 chroniqueurs bénévoles de l’association ont critiqué plus de 200 ouvrages. Chaque titre sélectionné pour ce prix doit avoir fait l’objet d’une chronique préalable sur le site internet de l’association, et doit être publié entre le 1er octobre dernier et le 30 septembre prochain.
Importante dotation
Doté de 12 000 euros et actuellement financé par un mécène privé, le Grand prix Méditerranéen de littérature et de spiritualité fait désormais partie du top 20 des prix littéraires les mieux dotés en France. L’association espère obtenir le concours d’un deuxième mécène pour rehausser la dotation et ainsi dépasser la barre des 18 546 euros qui lui permettrait d’entrer dans le top 10 du classement établi dans LH Le Magazine du mois de novembre 2020. "Pour que le prix soit crédible, il faut qu’il ait une bonne dotation. Par ailleurs, cette dotation importante a pour objectif d’aider les auteurs et peut permettre à des talents en devenir de démarrer leur carrière", souligne Jean-Jacques Bedu.
Le jury, composé de sept lecteurs pour chaque catégorie, a dévoilé dix essais et 14 romans composant sa sélection et se réserve la possibilité d’ajouter des titres supplémentaires dans les semaines à venir. Il dévoilera sa sélection finale le 30 septembre et annoncera le nom des deux premiers lauréats du prix au début du mois de novembre.
Les ouvrages sélectionnés :
Dans la catégorie essais
Dans la catégorie romans
Créée en septembre dernier, l’association Mare Nostrum poursuit l’objectif de mettre en valeur le patrimoine culturel méditerranéen et de "parler de livres qui passent sous les radars", explique l’auteur et secrétaire général du prix Jean-Jacques Bedu. En six mois, les 26 chroniqueurs bénévoles de l’association ont critiqué plus de 200 ouvrages. Chaque titre sélectionné pour ce prix doit avoir fait l’objet d’une chronique préalable sur le site internet de l’association, et doit être publié entre le 1er octobre dernier et le 30 septembre prochain.
Importante dotation
Doté de 12 000 euros et actuellement financé par un mécène privé, le Grand prix Méditerranéen de littérature et de spiritualité fait désormais partie du top 20 des prix littéraires les mieux dotés en France. L’association espère obtenir le concours d’un deuxième mécène pour rehausser la dotation et ainsi dépasser la barre des 18 546 euros qui lui permettrait d’entrer dans le top 10 du classement établi dans LH Le Magazine du mois de novembre 2020. "Pour que le prix soit crédible, il faut qu’il ait une bonne dotation. Par ailleurs, cette dotation importante a pour objectif d’aider les auteurs et peut permettre à des talents en devenir de démarrer leur carrière", souligne Jean-Jacques Bedu.
Le jury, composé de sept lecteurs pour chaque catégorie, a dévoilé dix essais et 14 romans composant sa sélection et se réserve la possibilité d’ajouter des titres supplémentaires dans les semaines à venir. Il dévoilera sa sélection finale le 30 septembre et annoncera le nom des deux premiers lauréats du prix au début du mois de novembre.
Les ouvrages sélectionnés :
Dans la catégorie essais
- Socrate in love d’Armand d’Angour (Albin Michel)
- Il était une fois… les révolutions arabes (Institut du monde arabe - Le Seuil)
- Mon islam, ma liberté de Kahina Bahloul (Albin Michel)
- Je vous écris d’une autre rive de Sophie Bessis (Elyzad)
- Dictionnaire Jésus de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem (Bouquins)
- La fabuleuse histoire de l’invention de l’écriture de Silvia Ferrara (Le Seuil)
- De l’autre côté des croisades de Gabriel Martinez-Gros (Passés composés)
- Louis Massignon : le catholique musulman de Manoël Pénicaud (Bayard)
- Les grande souveraines d’Egypte de Florence Quentin (Perrin)
- Epicure aux enfers d’Aurélien Robert (Fayard)
Dans la catégorie romans
- Le voile de la mariée de Kabira Beniz (Le chant des voyelles)
- Gehanna : une guerre en Syrie de Florian Benoît (L’Harmattan)
- Le dernier été en ville de Gianfranco Calligaric (Gallimard)
- Un jour viendra de Giulia Caminito (Gallmeister)
- Brûlant était le regard de Picasso d’Eugène Ebodé (Gallimard)
- La nuit des orateurs de Hédi Kaddour (Gallimard)
- Le palais des deux collines de Karim Kattan (Elyzad)
- Sur les traces d’Enayat Zayyat d’Iman Mirsal (Actes Sud)
- Les évanescents de Damien Ribeiro (Rouergue)
- Par une mer basse et tranquille de Donal Ryan (Albin Michel)
- Les dix mille mulets de Salvatore Maira (Rocher)
- L’île d’or de Henry Bonnier (Erick Bonnier)
- Amoureuse : le roman de Marie-Madeleine de Cécilia Dutter (Tallandier)
- Bel abîme de Yamen Manai (Elyzad)
