Métro à l’arrêt, certaines gares et lignes de bus non desservies, crèches, écoles, universités et centres commerciaux fermés : placée en état d’alerte maximale terroriste de niveau 4, Bruxelles vit depuis samedi 21 novembre midi au ralenti.
Cinémas, piscines, théâtres ou salles de concert ont également décidé d’annuler leurs événements ou de garder portes closes lundi 23 novembre. C’est aussi le cas des bibliothèques municipales du centre de Bruxelles, telle la Bibliothèque royale de Belgique ou celle des Riches-Claires, qui, sur ordre des autorités communales, n’accueillent plus le public depuis samedi.
La situation est plus contrastée en librairie, la décision de fermeture étant laissée à l’appréciation de chacun suivant les recommandations du centre de crise national et de l’Ocam, l’Organe de coordination et d’analyse de la menace belge, qui établit les niveaux d’alerte.
La plupart des librairies situées dans les communes voisines du centre de Bruxelles ont donc maintenu leurs portes ouvertes, tel A livre ouvert à Woluwe ou La Licorne, à Uccle, qui fêtait vendredi sa réinstallation dans un nouveau local.
Filigranes, Tropismes et la Fnac fermés
Dans le centre de Bruxelles, directement touché par les mesures radicales, certaines structures ont néanmoins choisi de rester ouvertes. C’est le cas notamment de Brüsel, grande librairie spécialisée en BD, d’ABC livres-librairie du midi, dédiée aux ouvrages techniques et proche de la gare de Bruxelles-midi ou de Tulitu, ouverte en février dernier et centrée sur la littérature québécoise.
En revanche, les deux Fnac, installées dans les centres commerciaux La Toison d’or et City 2, Filigranes, la plus grande librairie bruxelloise, et Tropismes, installée dans la galerie des Princes, ont tiré le rideau samedi en tout début d’après-midi. " Nous sommes situés entre la Grand-Place et l’une des rues les plus commerçantes de Bruxelles, où les magasins ont reçu l’injonction de fermer, précise Brigitte de Meeûs, directrice de Tropismes. Dès lors, dans la galerie, il y a eu comme un effet domino : chaque magasin a, successivement, tiré le rideau. »
Fermées au public, les librairies accueillent toutefois leur personnel habituel, pour renseigner les clients au téléphone, ranger les rayons et " faire les retours ", précise-t-on à la Librairie Polytechnique, spécialisée en scolaire et universitaire et qui a également baissé pavillon samedi.
Si Filigranes a d'ores et déjà choisi de rouvrir ses portes mardi, avec, précise son chargé de communication,"un service de sécurité adapté ", ses collègues attendent les prochaines recommandations de l’Ocam, qui devaient tomber lundi en fin d’après-midi, pour prendre leur décision.
Cinémas, piscines, théâtres ou salles de concert ont également décidé d’annuler leurs événements ou de garder portes closes lundi 23 novembre. C’est aussi le cas des bibliothèques municipales du centre de Bruxelles, telle la Bibliothèque royale de Belgique ou celle des Riches-Claires, qui, sur ordre des autorités communales, n’accueillent plus le public depuis samedi.
La situation est plus contrastée en librairie, la décision de fermeture étant laissée à l’appréciation de chacun suivant les recommandations du centre de crise national et de l’Ocam, l’Organe de coordination et d’analyse de la menace belge, qui établit les niveaux d’alerte.
La plupart des librairies situées dans les communes voisines du centre de Bruxelles ont donc maintenu leurs portes ouvertes, tel A livre ouvert à Woluwe ou La Licorne, à Uccle, qui fêtait vendredi sa réinstallation dans un nouveau local.
Filigranes, Tropismes et la Fnac fermés
Dans le centre de Bruxelles, directement touché par les mesures radicales, certaines structures ont néanmoins choisi de rester ouvertes. C’est le cas notamment de Brüsel, grande librairie spécialisée en BD, d’ABC livres-librairie du midi, dédiée aux ouvrages techniques et proche de la gare de Bruxelles-midi ou de Tulitu, ouverte en février dernier et centrée sur la littérature québécoise.
En revanche, les deux Fnac, installées dans les centres commerciaux La Toison d’or et City 2, Filigranes, la plus grande librairie bruxelloise, et Tropismes, installée dans la galerie des Princes, ont tiré le rideau samedi en tout début d’après-midi. " Nous sommes situés entre la Grand-Place et l’une des rues les plus commerçantes de Bruxelles, où les magasins ont reçu l’injonction de fermer, précise Brigitte de Meeûs, directrice de Tropismes. Dès lors, dans la galerie, il y a eu comme un effet domino : chaque magasin a, successivement, tiré le rideau. »
Fermées au public, les librairies accueillent toutefois leur personnel habituel, pour renseigner les clients au téléphone, ranger les rayons et " faire les retours ", précise-t-on à la Librairie Polytechnique, spécialisée en scolaire et universitaire et qui a également baissé pavillon samedi.
Si Filigranes a d'ores et déjà choisi de rouvrir ses portes mardi, avec, précise son chargé de communication,"un service de sécurité adapté ", ses collègues attendent les prochaines recommandations de l’Ocam, qui devaient tomber lundi en fin d’après-midi, pour prendre leur décision.
