Lundi 24 mars sur le stand de la région Ile-de-France au Salon du livre de Paris, Julien Dray, vice-président de la région chargé de la culture, Henriette Zoughebi, chargée des lycées et Emmanuel Maurel, chargé de la formation professionnelle, de l’apprentissage, de l’alternance et de l’emploi, ont remis le prix des lycéens et apprentis aux huit auteurs lauréats désignés dans chacun des huit départements de la Région. Il s’agit de:
Un dhikri pour nos morts. La rage entre les dents, Soeuf Elbadawi (Vents d’ailleurs)
Le temps d’arriver, Aurélien Manya (Gallimard)
Un printemps à Tchernobyl, Emmanuel Lepage (Futuropolis)
Deux étrangers, Emilie Frèche (Actes Sud)
Un notaire peu ordinaire, Yves Ravey (Minuit)
Le ring invisible, Alban Lefranc (Verticales)
La part du feu, Hélène Gestern (Arléa)
22, Placards!, Jacques Rebotier (Æncrages & Co)
Cette action est destinée à favoriser le lien des jeunes à la création littéraire et aux lieux du livre à travers une quarantaine de livres en compétition dans une quarantaine de classes, des rencontres avec des auteurs dans les librairies et les médiathèques, des forums départementaux et un forum régional au salon du livre.
En parallèle, Isabelle This-Saint-Jean, vice-présidente de la région Ile-de-France chargée de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et Julien Dray ont remis également le prix étudiant de l’essai à Anne Lecu pour La prison, un lieu de soin? (Les Belles Lettres). Créé par le Motif et la région Île-de- France, le prix est décerné par un jury composé de 13 étudiants franciliens sous la présidence du philosophe Bernard Stiegler.
Par ailleurs, sur le stand “Livres et Auteurs du Bassin du Congo” du salon du livre, deux jeunes étudiants, Claude Romanus Biao (24 ans, Bénin) et Mohamed Mbougar Sarr (23 ans, Sénégal) ont reçu, dans les catégories “Poésie” et “Nouvelles”, le prix Stéphane Hessel de la jeune écriture francophone, remis conjointement par RFI et l’Alliance francophone.
Lancé en 2013, ce prix, du nom de son parrain, Stéphane Hessel, donne aux jeunes francophones la possibilité de s’exprimer, de contribuer à la création littéraire et de promouvoir la langue française dans le monde. Pour cette seconde édition présidée par Vénus Khoury-Ghata, 1700 contributions ont été reçues, soit deux fois plus que l’année précédente.