L'art de réduire les têtes : sur la nouvelle servitude de l'homme libéré, à l'ère du capitalisme total
Denoël
Après le nazisme et le communisme, il semble que le néo-libéralisme veuille lui aussi fabriquer "un homme nouveau". Une mutation anthropologique est à l'oeuvre dont les conséquences se font dès aujourd'hui sentir. Autour de la naissance d'un sujet déchu de sa faculté de jugement et qui a cessé de se référer à toute valeur absolue et transcendantale.