Du vin et du haschisch : comparés comme moyens de multiplication de l'individualité
Mille et une nuits
Fumeur de haschisch, Baudelaire est dépendant des paradis artificiels où il tente d'oublier l'horreur quotidienne. Mais, lucide, Baudelaire n'oublie jamais qu'il s'enchaîne en même temps qu'il apaise ses souffrances. La drogue conduit-elle à l'idéal ou plonge-t-elle celui qui la consomme, plus profondément encore, dans les ténèbres du spleen ? Baudelaire sera toujours hanté par ce dilemme. ©Electre 2020