Initialement annoncée jusqu’au 15 mai, l’exposition « Ecrire peindre » de Tahar Ben Jelloun, première exposition au Maroc des tableaux de l’écrivain, est prolongée jusqu’à la fin du mois de mai à la galerie Tindouf à Marrakech.
Après une première exposition à Rome au printemps dernier, les œuvres de l’académicien Goncourt, qui reste discret sur cette deuxième passion à laquelle il se consacre "en contrepoint de l’écriture" depuis quelques années, sont inspirées autant "de Matisse que de Chaïbia, unis par une même passion de la couleur qu’on étale sur le malheur du monde" indique son ami l’écrivain Fouad Laroui dans le catalogue de l’exposition.
Beaucoup de couleurs, donc, des papillons, des feuilles, des oiseaux traversent son œuvre récente qui séduit par la joie de vivre.
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Auteur d’une cinquantaine d’ouvrages dont Lettre à Matisse : et autres écrits sur l’art, en octobre dernier chez Folio, le prix Goncourt 1987 exposera ensuite ses grands tableaux à Palerme à partir du 3 juillet.
Auparavant quelques-unes de ses toiles iront également à Milan à l’occasion du Festival La Milanesiana (du 19 juin au 9 juillet), le festival littéraire organisé par Elisabetta Sgarbi, directrice des éditions Bompiani.
Enfin en septembre prochain, l’écrivain par ailleurs chroniqueur à La Reppublica se rendra à l’île de Lipari pour réaliser une fresque sur trois murs d’une ancienne prison.
Pour fêter la Journée mondiale du livre, l'Unesco s'est exprimée sur la nécessité de faciliter l'accès à la lecture au plus grand nombre. Et de protéger la rémunération des auteurs.
Dans le cadre des commémorations de la libération de l'Italie le 25 avril 1945, Antonio Scurati devait lire un discours à la télévision italienne pour dénoncer les liens toujours existants, selon lui, entre la famille politique de la présidente du conseil Georgia Meloni et la tradition fasciste. Son intervention a été déprogrammée par la RAI, groupe audiovisuel public italien.
