Salon du livre : Questions à Abha Dawesar

Salon du livre : Questions à Abha Dawesar

Romancière indienne, elle écrit en anglais et réside à New York. L'auteure en séance de dédicaces au salon du livre a vu son premier roman traduit en français : Babyji (Heloïse d'Ormesson).

avec vlg Créé le 15.04.2015 à 19h12

Livres Hebdo : Quel est votre record de signatures à l’heure ?
Abha Dawesar : Je ne sais pas. Je ne compte pas. En fait, pendant les séances de dédicace je perds totalement la notion du temps. Mais, je pense être assez appliquée. Comme je ne suis pas française, je veille particulièrement à bien orthographier les noms. Et puis, j’essaie toujours d’établir un contact. Je pose parfois des questions, pour écrire un message un peu plus personnel. J’y mets vraiment toute mon énergie.

LH : Avez-vous déjà demandé une dédicace ?
AD : Oui, souvent. Lorsqu’il s’agit d’amis, c’est systématique. Sinon je vais en demander de-ci de-là sur les salons.

LH : De qui voudriez-vous obtenir une dédicace ?
AD : En France, de Georges Bataille.

LH : Quel est votre salon préféré ?
AD : Je ne sais pas. J’ai souvent été invitée sur des salons aux Etats-Unis, mais jamais les mêmes. En fait, ça faisait longtemps que j’attendais que mon livre soit traduit en français pour venir le promouvoir ici. Le salon du livre de Paris me plaît bien. Il est grand, mais pas trop, assez bien organisé. Je réserve donc mon jugement jusqu’à la fin du salon. Il apparaît en tout cas comme un bon candidat.

Abha Dawesar : Babyji (Ed. Héloïse d'Ormesson)

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