Pourtant, "ce livre n’est ni une communication gouvernementale ni un bilan d’action politique, mais un récit purement personnel, partiel et parfois romancé. Les propos tenus ici n’engagent que leur auteure", peut-on lire dans l'ouvrage.J'avais trouvé ça gênant de recevoir cette invitation presse du secrétariat à @Egal_FH pour un livre décrit par @MarleneSchiappa elle-même comme "purement personnel". J'apprends que l'association @anticor_org a saisi le Premier ministre et la CNIL https://t.co/UV7c31Qnk2 pic.twitter.com/q40wqpL8nv
— Aude Lorriaux (@audelorriaux) 28 mai 2018
"L’article 226-21 du code pénal […] punit de cinq ans de prison et de 300000 euros d’amende tout détournement de finalité de fichier", a rappelé le président d'Anticor Jean-Christophe Picard, dans les courriers adressés au Premier ministre et à la Cnil et mis en ligne sur le site de l'association.
Le cabinet de Marlène Schiappa a reconnu, lundi 28 mai, "une maladresse" qui "ne se reproduira plus" et qui n'aurait eu "aucun impact sur les deniers publics". Cela n'a pas eu beaucoup d'impact sur les ventes: pour l'instant, selon les données GFK, le livre s'est vendu à 200 exemplaires.