Cette année, sept ouvrages se sont distingués au sein du prix littéraire de la centrale Canine, dont trois dans les catégories littéraire, documentaire et jeunesse et quatre mentions spéciales, parmi la cinquantaine de livres en lice dans la compétition. Chaque premier prix s’est vu remettre un chèque de 1 000 euros à la Maison Boétie.
Les lauréats :
- L’autrice Marie Beer a remporté le prix dans la catégorie littéraire pour son roman Patate Chaude publié aux éditions Encre Fraîche. Celui-ci suit l’histoire de la famille de Kob, qui après sa mort entend préserver dignement son héritage qui comprend, entre autres, des amis infréquentables, quelques magouilles mais surtout un chien mal-élevé que personne ne veut garder… En deuxième position, La Souris qui voulait sauver l’ogre de Françoise Guérin, paru aux éditions Eyrolles.
- Le prix littéraire de la centrale Canine du documentaire et technique a été attribué cette année au docteur Jean Cuvelier pour son ouvrage Ouaf !! Le guide du parler chien, paru aux éditions Larousse. Cet ouvrage décrypte et décode avec humour les comportements du chien pour aider ses propriétaires à mieux le comprendre et prendre soin de lui : « Un guide recommandé par 100% des chiens ». J’accompagne la fin de vie de mon animal de la docteure Yessenia Alves Leiva (Le courrier du livre) arrive en deuxième position.
- Du côté jeunesse, c’est Éric Dodon et son ouvrage sobrement intitulé Mon Chien (Beurre Salé) qui rafle la mise. Celui-ci met en scène une petite fille qui raconte sa tendre et forte histoire d’amitié avec son chien après la mort de ce dernier. Le livre de Claire Renaud et Thomas Baas, Toutou tout frisé (Bayard Jeunesse) se hisse à la deuxième place.
- Enfin, pour la seizième édition du prix littéraire de la centrale Canine, les membres du jury ont souhaité mentionner quatre ouvrages qui les ont particulièrement touchés : Picasso et ses chiens de Jean-Louis Andral (Norma), Clebsy : chien de la jungle de Noé Carlain et Thierry Manes (Didier Jeunesse), L’Alimentation du chien et du chat de Pauline Teyssier et Charlotte Devaux, (Poulot) et Le Destin a du chien de David Banville (auto-édition).
Le jury était composé d’Alexandre Balzer (président de la Centrale Canine et vétérinaire), Anne-Marie Class (secrétaire générale de la Centrale Canine), André Demontoy (docteur vétérinaire et auteur du Dictionnaire des chiens illustres), Jean-Denis Devins (président de la Commission nationale d’éducation et d’activités cynophiles de la Centrale Canine), Anne La Fay (libraire) ainsi que de Imré Horvath (auteur, historien et photographe).
Depuis 2006, le prix littéraire de la centrale Canine récompense les meilleures œuvres francophones valorisant la relation entre chiens et êtres humains.