A l'occasion du Forum sur la rémunération des auteurs organisé les 21 et 22 octobre par la Société des gens de lettres (SGDL), sa secrétaire générale, l'écrivaine Carole Zalberg, s'élève contre la vision romantique d'un auteur qui n'aurait pas à frayer avec l'argent.
Il me semble qu’il y a à cette persistance deux causes majeures. La première est une idée empoisonnée : l’art et la création n’ont pas de prix, ne doivent pas frayer... Lire la suite (2 940 caractères)
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