Il supervisait également le Salon Fnac livres, qui a accueilli 15 000 visiteurs en 2019, ainsi que les prix littéraires sponsorisés et financés par la Fnac, dont le prix Roman Fnac, le prix BD Fnac-France Inter et le prix Goncourt des lycéens. Son rôle au sein du groupe l'amenait régulièrement à collaborer avec le monde de l'édition afin, notamment, d'organiser des rencontres entre le public et les auteurs.
Je l’appelais Baptiste dans mes romans. Il était l’âme du Fnac Live.
— Mathieu Simonet (@MathieuSimonet) February 6, 2020
Mon mari est décédé hier d’un mélanome qui avait métastasé.
Pendant plus de 20 ans, Benoît a montré qu’on pouvait avoir un cancer et vivre une vie personnelle et professionnelle riches. https://t.co/8aVzo3WH2Z
Joint par Livres Hebdo, le directeur de la communication de la Fnac et collaborateur de Benoît Brayer, Benjamin Perret, se souvient d'un homme "ouvert, courageux et exigeant, avec lui-même et dans son travail". "Il faisait vivre une certaine tension à la Fnac entre la culture pour tous et la culture à la pointe, explique Benjamin Perret. Il n’hésitait pas à utiliser sa liberté pour prendre des risques et faire découvrir de nouveaux talents".
Les réactions ont afflué sur Twitter suite à l’annonce de son décès. Le journaliste Christophe Conte a salué un "garçon aussi discret que talentueux". Le rédacteur en chef adjoint Arts et Spectacles de L'Express, Julien Bordier, a, pour sa part, rendu hommage à "un homme discret, passionné et chaleureux".