André Blanchard est mort
Auteur de plusieurs volumes de Carnets où il consignait ses réflexions sur l’art, la vie et la littérature, André Blanchard est décédé lundi 29 septembre à 63 ans.
Disparition
L’écrivain André Blanchard est mort lundi 29 septembre des suites d’un cancer du poumon, à l’âge de 63 ans, a annoncé sa maison d’édition Le Dilettante. Il a été inhumé jeudi 2 octobre à Vesoul, la ville où il s’est installé à la naissance de sa fille Pauline en 1986.
Né le 2 février 1951 à Voires dans le Doubs, c’est après des études de droit à Besançon qu’André Blanchard a décidé de devenir écrivain. Depuis 1989, année de la publication de son premier ouvrage autour de la littérature et de l’actualité Entre chien et loup au Dilettante, l’auteur n’a eu de cesse d'exprimer son style et sa vision de littérature atypiques à travers carnets et chroniques.
Intitulé ironiquement A la demande générale, le dernier et huitième carnet d’André Blanchard est paru en 2013, toujours au Dilettante auquel il est resté fidèle toute sa vie. Il y exprime à nouveau son besoin vital de la littérature, qui l’éloignait de son mal-être et qu’il a essayé d’honorer toute sa vie. “Blanchard est un colérique doux, un déprimé souriant que seule la littérature, “cette lumière au loin”, a sauvé du désespoir", écrivait Jérôme Garcin dans Le Nouvel Observateur en 2011 à la sortie de Autres directions.
Né le 2 février 1951 à Voires dans le Doubs, c’est après des études de droit à Besançon qu’André Blanchard a décidé de devenir écrivain. Depuis 1989, année de la publication de son premier ouvrage autour de la littérature et de l’actualité Entre chien et loup au Dilettante, l’auteur n’a eu de cesse d'exprimer son style et sa vision de littérature atypiques à travers carnets et chroniques.
Intitulé ironiquement A la demande générale, le dernier et huitième carnet d’André Blanchard est paru en 2013, toujours au Dilettante auquel il est resté fidèle toute sa vie. Il y exprime à nouveau son besoin vital de la littérature, qui l’éloignait de son mal-être et qu’il a essayé d’honorer toute sa vie. “Blanchard est un colérique doux, un déprimé souriant que seule la littérature, “cette lumière au loin”, a sauvé du désespoir", écrivait Jérôme Garcin dans Le Nouvel Observateur en 2011 à la sortie de Autres directions.
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