Grâce à une prolongation de cinq jours de sa campagne et au don exceptionnel d’un particulier, la librairie parisienne L’œil écoute a réussi à boucler son projet de financement participatif sur Ulule. Ce qui lui permet d’empocher une cagnotte de 25000 euros.
La somme récoltée "permettra de rembourser une partie des dettes contractées" explique Armelle Lainé-Vairet, gérante de L’Œil écoute.
"Avec la fermeture au printemps de la bouche de métro située devant le magasin et la désertification du quartier, nous avons encaissé depuis le début de l’année une baisse de 15% de notre chiffre d’affaires, annonce la gérante pour expliquer ses difficultés actuelles. Toutefois, depuis que nous avons mis un panneau informant les gens de nos difficultés, beaucoup s’arrêtent et achètent."
Pour faire revenir de manière plus durable les clients, Armelle Lainé-Vairet entend valoriser les coups de cœur de la librairie et surtout "rapatrier le poche et la BD à l’entrée du magasin", alors qu’ils sont aujourd’hui installés au sous-sol. Cette surface de 130 m2 sera alors fermé et l’offre sera concentrée sur les 160 m2 du rez-de-chaussée.
Avec le départ à la retraite de deux salariés, la dirigeante ne compte plus qu’une équipe de deux personnes. Mais si la masse salariale a été réduite, les charges immobilières restent élevées.
Plusieurs retards dans le paiement des loyers vont d’ailleurs conduire, le 21 novembre, propriétaire et locataire devant le tribunal de grande instance de Paris. Avec un enjeu majeur à la clé: le renouvellement du bail qui s’achevait le 31 octobre.
La somme récoltée "permettra de rembourser une partie des dettes contractées" explique Armelle Lainé-Vairet, gérante de L’Œil écoute.
"Avec la fermeture au printemps de la bouche de métro située devant le magasin et la désertification du quartier, nous avons encaissé depuis le début de l’année une baisse de 15% de notre chiffre d’affaires, annonce la gérante pour expliquer ses difficultés actuelles. Toutefois, depuis que nous avons mis un panneau informant les gens de nos difficultés, beaucoup s’arrêtent et achètent."
Pour faire revenir de manière plus durable les clients, Armelle Lainé-Vairet entend valoriser les coups de cœur de la librairie et surtout "rapatrier le poche et la BD à l’entrée du magasin", alors qu’ils sont aujourd’hui installés au sous-sol. Cette surface de 130 m2 sera alors fermé et l’offre sera concentrée sur les 160 m2 du rez-de-chaussée.
Avec le départ à la retraite de deux salariés, la dirigeante ne compte plus qu’une équipe de deux personnes. Mais si la masse salariale a été réduite, les charges immobilières restent élevées.
Plusieurs retards dans le paiement des loyers vont d’ailleurs conduire, le 21 novembre, propriétaire et locataire devant le tribunal de grande instance de Paris. Avec un enjeu majeur à la clé: le renouvellement du bail qui s’achevait le 31 octobre.
