Les finalistes du Femina 2018
La proclamation du Prix Femina aura lieu le 5 novembre.
Grands prix d'automne
Le jury du Femina a dévoilé, mercredi 24 octobre, ses finalistes dans trois catégories : roman français, roman étranger, essai.
Des noms forts de la rentrée littéraire se maintiennent en lice pour le meilleur roman français. Ainsi, David Diop, maintes fois sélectionné pour son roman Frère d'âme (Seuil), partage l'affiche avec Philippe Lançon et son récit autobiographique puissant (Le lambeau, Gallimard) et Pierre Guyotat, le monument de la littérature française (Idiotie, Grasset).
Côté étranger, les dames du Femina ont décidé de garder Gabriel Tallent dont le premier roman, My absolute darling (Gallmeister), a déjà été distingué depuis sa parution au printemps par plusieurs prix dont le prix America. Par ailleurs, l'auteure polonaise Olga Tokarczuk se glisse parmi les finalistes alors qu'elle ne figurait pas dans les précédentes sélections.
La remise du Femina ouvrira, le 5 novembre, la semaine des proclamations des grands prix d'automne.
7 romans français
Des noms forts de la rentrée littéraire se maintiennent en lice pour le meilleur roman français. Ainsi, David Diop, maintes fois sélectionné pour son roman Frère d'âme (Seuil), partage l'affiche avec Philippe Lançon et son récit autobiographique puissant (Le lambeau, Gallimard) et Pierre Guyotat, le monument de la littérature française (Idiotie, Grasset).
Côté étranger, les dames du Femina ont décidé de garder Gabriel Tallent dont le premier roman, My absolute darling (Gallmeister), a déjà été distingué depuis sa parution au printemps par plusieurs prix dont le prix America. Par ailleurs, l'auteure polonaise Olga Tokarczuk se glisse parmi les finalistes alors qu'elle ne figurait pas dans les précédentes sélections.
La remise du Femina ouvrira, le 5 novembre, la semaine des proclamations des grands prix d'automne.
7 romans français
- Arcadie d'Emmanuelle Bayamack-Tam (P.O.L)
- Trois enfants du tumulte d'Yves Bichet (Mercure de France)
- Frère d'âme de David Diop (Seuil)
- François, portrait d'un absent de Michaël Ferrier (Gallimard)
- Idiotie de Pierre Guyotat (Grasset)
- Le lambeau de Philippe Lançon (Gallimard)
- Roissy de Tiffany Tavernier (Sabine Wespieser)
- Le monarque des ombres de Javier Cercas, traduit de l'espagnol par Aleksandar Grujicic, avec la collaboration de Karine Louesdon (Actes Sud)
- La loi de la mer de Davide Enia, traduit de l'italien par Françoise Brun (Albin Michel)
- Le cœur converti de Stefan Hertmans, traduit du néerlandais par Isabelle Rosselin (Gallimard)
- La neuvième heure d'Alice McDermott traduit de l'anglais par Cécile Arnaud (La Table ronde)
- Les livres de Jakob d'Olga Tokarczuk traduit du polonais par Maryla Laurent (Noir sur blanc)
- My absolute darling de Gabriel Tallent, traduit de l'anglais par Laura Derajinski (Gallmeister)
- La marcheuse de Samar Yazbek, traduit de l'arabe par Khaled Osman (Stock)
- Histoire des crétins des Alpes d'Antoine de Baecque (La librairie Vuibert)
- La France des Belhoumi de Stéphane Beaud (La Découverte)
- Intérieur jour de Marc Dugain (Robert Laffont)
- Camille Claudel de Colette Fellous (Fayard)
- Gaspard de la nuit d'Elisabeth de Fontenay (Stock)
- Il nous faudrait des mots nouveaux de Laurent Nunez (Cerf)
- La citoyenneté à l'épreuve : la démocratie et les juifs de Dominique Schnapper (Gallimard)
- Un temps pour haïr de Marc Weitzmann (Grasset)
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