Un jour je m'en irai sans avoir tout dit, de Jean d'Ormesson (Laffont), entre 5e dans le Top 20 Ipsos/Livres Hebdo, tous genres confondus, pour la semaine du 26 août au 1er septembre. Tiré à 120000 exemplaires pour sa sortie le 22 août, il vient d'être réimprimé à 30000 exemplaires et atteint donc un tirage total de 150000 exemplaires.

En ces temps de rentrée littéraire, l'Académicien y prend la défense de la littérature et y livre comme il l'écrit en introduction «quelque chose qui ressemble à un roman: des histoires, quelques délires, pas de descriptions grâce à Dieu, un peu de théâtre, pourquoi pas? et les souvenirs, épars et ramassés pêle-mêle, d'une vie qui s'achève et d'un monde évanoui».

Un autre roman de la rentrée arrive 18e dans le palmarès, Les perroquets de la place d'Arezzo, d'Eric-Emmanuel Schmitt (Albin Michel), qui figure aussi sur la liste à la 19e place avec son précédent livre en poche, La femme au miroir (Livre de Poche). Tandis que le Top 20 est dominé par Enlace-moi, le troisième volet de la saga érotique Crossfire, de Sylvia Day (J'ai Lu), qui devance La nostalgie heureuse, d'Amélie Nothomb (Albin Michel).

Deux autres nouveautés font leur entrée dans le Top 20: Le sermon sur la chute de Rome de Jérôme Ferrari, prix Goncourt 2012, en poche (Babel, 15e) et Watergate, le 10e volume de Game over, de Midam, Thitaume et Adam, une BD pour les plus jeunes (Mad fabrik, 20e).