Le 2 octobre, les éditions Flammarion publieront les deux premiers ouvrages de la collection « France Positive ». Il s'agit de : IA et Fake News : Sommes-nous condamnés à la désinformation de Julie Martinez et de Protéger l’enfance : Tenir notre promesse aux enfants d'Aude Kerivel.

Cette collection est placée sous la direction de Jacques Attali et de Julie Martinez avocate internationale spécialiste des nouvelles technologies et de l’IA. « France Positive » proposera des essais d’une centaine de pages basés sur divers sujets et enjeux de société.

Le nom, « France positive », vient du laboratoire d’idée créé par Jacques Attali en 2021. Le but de cette organisation est de réunir des experts pour trouver des solutions pratiques sur des thématiques d'actualité qui concernent directement les français.

A travers « France Positive », Julie Martinez directrice générale, dit vouloir s’éloigner des « débats de personnes » , des conflits politiques qu'elle déplore « stériles et trop éloignés des soucis actuels ». Cette nouvelle collection est à l’image de ce projet. 

Les éditions Flammarion prévoient un rythme de parution de huit à dix ouvrages par an et toujours par deux. Les deux prochains paraîtront en janvier 2025. 

Le but de la collection est de valoriser des sujets citoyens avec des solutions à la clef. L'idée, portée par ses deux directeurs, est de motiver les Français à être force de proposition à l'échelle locale et nationale.

Les prochains ouvrages traiteront notamment de la santé mentale des jeunes et de la laïcité, des sujets qui, d'après Julie Martinez, sont cruciaux dans notre société actuelle.

Flammarion ne considère pas sa collection comme niche et souhaite l'étendre à un large public. Pour cela, un important travail sur les réseaux sociaux sera mis en place, ainsi qu'un volet de conférences et interventions dans les établissements. 

Julie Martinez évoque prochainement la mise en place d'un colloque dans la ville de Sarcelles sur la thématique du logement, intervention à laquelle des classes de collégiens seront invitées à assister.

 « Le livre reste une barrière et la librairie est encore un lieu dont les Français peinent à franchir la porte », estime l'avocate internationale. Des réticences qui ont notamment motivé la création d'essais de petits format ne dépassant pas 100 pages. Ainsi, s'ajoute aux différentes interventions un réel travail de communication pour donner à voir cette nouvelle collection et susciter l'interêt d'un nouveau public.