Bodo Kirchhoff, lauréat du Prix du livre allemand 2016
Le Prix du livre allemand a récompensé, lundi 17 octobre, l’écrivain Bodo Kirchhoff pour son roman Widerfahrnis, publié chez Frankfurter Verlagsanstalt.
Proclamation
Le prestigieux Prix du livre allemand (Deutschen Buchpreis), qui récompense le meilleur roman de l’année en langue allemande, a couronné, lundi 17 octobre, le roman de Bodo Kirchhoff, Widerfahrnis, paru aux éditions Frankfurter Verlagsanstalt.
Le jury s’est réuni deux jours avant l’ouverture de la 68e Foire internationale du livre, qui se tient du 19 au 23 octobre à Francfort. Ses membres, pour la plupart auteurs, journalistes ou critiques littéraires, ont salué "un texte complexe qui mêle avec maestria les questions existentielles d’ordre privé et politique, et qui ouvre de nouveaux espaces au lecteur".
Widerfahrnis n’a pas encore été traduit en français. Il raconte la fuite de deux êtres mélancoliques vers le sud, rattrapés par certains thèmes fondamentaux de leur passé comme la perte ou la parentalité. Le roman de Bodo Kirchhof s’est imposé face à ceux de Reinhard Kaiser-Mühlecker (Fremde Seele, dunkler Wald, S. Fischer), André Kubiczek (Skizze eines Sommers, Rowohlt Berlin), Thomas Melle (Die Welt im Rücken, Rowohlt Berlin), Eva Schmidt (Ein langes Jahr, Jung und Jung) et Philipp Winkler (Hool, Aufbau).
Bodo Kirchhoff succède à Frank Witzel, lauréat 2015 avec Die Erfindung der Roten Armee Fraktion durch einen manisch-depressiven Teenager im Sommer 1969 (L’invention de la Fraction armée rouge (RAF) par un jeune maniaco-dépressif à l’été 1969), paru chez Matthes & Seitz.
Le jury s’est réuni deux jours avant l’ouverture de la 68e Foire internationale du livre, qui se tient du 19 au 23 octobre à Francfort. Ses membres, pour la plupart auteurs, journalistes ou critiques littéraires, ont salué "un texte complexe qui mêle avec maestria les questions existentielles d’ordre privé et politique, et qui ouvre de nouveaux espaces au lecteur".
Widerfahrnis n’a pas encore été traduit en français. Il raconte la fuite de deux êtres mélancoliques vers le sud, rattrapés par certains thèmes fondamentaux de leur passé comme la perte ou la parentalité. Le roman de Bodo Kirchhof s’est imposé face à ceux de Reinhard Kaiser-Mühlecker (Fremde Seele, dunkler Wald, S. Fischer), André Kubiczek (Skizze eines Sommers, Rowohlt Berlin), Thomas Melle (Die Welt im Rücken, Rowohlt Berlin), Eva Schmidt (Ein langes Jahr, Jung und Jung) et Philipp Winkler (Hool, Aufbau).
Bodo Kirchhoff succède à Frank Witzel, lauréat 2015 avec Die Erfindung der Roten Armee Fraktion durch einen manisch-depressiven Teenager im Sommer 1969 (L’invention de la Fraction armée rouge (RAF) par un jeune maniaco-dépressif à l’été 1969), paru chez Matthes & Seitz.
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