Exposition Christian Louboutin : L'Exhibition[niste] - Photo Palais de la Porte Dorée
Le prix CatalPa 2020 pour le catalogue "L'Exhibition[niste]" de Christian Louboutin
Le prix des catalogues d’expositions de Paris récompense Christian Louboutin. L'Exhibition[niste] d’Éric Reinhardt (Rizzoli). La rétrospective des trente ans de carrière du créateur artistique était exposée au Palais de la Porte Dorée à Paris21.
Le prix CatalPa 2020 est décerné à Christian Louboutin. L'Exhibition[niste], d’Éric Reinhardt avec la préface d’Olivier Gabet et les photographies de Jean-Vincent Simonet, publié aux éditions Rizzoli, le 15 février 2020. L'exposition du styliste est présentée au Palais de la Porte Dorée depuis le 26 février 2020 et devait s'arrêter le 3 janvier prochain.
Le prix des catalogues d’expositions de Paris récompense ainsi une rétrospective des trente ans de carrière de Christian Louboutin, créateur de chaussures de luxe. L'auteur décrit notamment ses sources d'inspiration, son univers créatif ainsi que ses plus belles pièces.
Exosition L'Exhibition[niste] de Christophe Louboutin- Photo V. THOMAS
Créé par l’Association Les Arpenteurs d’expositions, le prix CatalPa a attribué pour cette 9ème édition, deux mentions spéciales pour des expositions de la rentrée. ?Une première a été accordée au catalogue Victor Brauner. Je suis le rêve. Je suis l’inspiration, coédité par Paris Musées / Musée d’Art moderne de Paris. La seconde mention est remise à Josef Koudelka. Ruines, hommage au photographe et son obsession des cités antiques, coédité par Xavier Barral / Bibliothèque nationale de France.
Exposition Josef Koudelka, Ruines, à la BNF- Photo V. THOMAS
Le jury 2020 a fait sa sélection parmi 47 catalogues. Il était composé de Bruno Abadie, directeur administratif et financier, André Balbo, éditeur et directeur de projets, Antoine Bonneval, formateur, Christian Fabre, opérateur culturel et musical, Martine Horel,communicante, Jean-Gabriel Lopez, artiste et conseil en valorisation de collection photographique, Yannik Piel, économiste, Natalie Thiriez, directrice artistique et co-fondatrice de l’hebdomadaire Le 1, du trimestriel Zadig, et du magazine Légende, Carlos Trindade, chargé de projets culturels, Jean-Luc Vidal, musicien, et Leïla Voight, curatrice.
Avec la parution du Couteau, Salman Rushdie entend tourner la page de l’agression qui a failli lui coûter la vie, le 12 août 2022, à Chautauqua, dans l’État de New York. Mais son livre n’est pas seulement le récit factuel de l’attentat, de sa survie puis de sa résurrection, et certainement pas un règlement de comptes. Plutôt une catharsis, une ode à la littérature, à la liberté de penser et d’écrire, et, dit-il, « une histoire d’amour » dédiée à ses proches : sa femme Eliza, ses fils Zafar et Milan, sa sœur Sameen. C’est aussi un texte plein d’humour, comme son auteur. De passage à Paris pour la promotion de son livre, c’est, malgré la haute protection policière dont il est entouré, un Salman Rushdie détendu, très en forme, heureux d’être de retour en France, qui a répondu avec spontanéité aux questions de Livres Hebdo.
Avec le Chevalier aux épines, trilogie publiée en un an aux Moutons électriques et encensée par les lecteurs, Jean-Philippe Jaworski a signé son grand retour dans l’univers du « Vieux Royaume ». Alors que le premier tome de la saga, Le tournoi des preux, vient de paraître en poche chez Folio Fantasy avec un tirage de 20 000 exemplaires, l’auteur nancéien s’est confié à Livres Hebdo.
Par
Charles Knappek
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